Peut-être manque-je des références nécessaires mais je n'ai pu dépasser la moitié de la première de ces deux nouvelles. L'ennui, c'est qu'au-delà du style qui pastiche la littérature fantastique des fin XIXe et début XXe (
Poe et
Lovecraft), les personnages se succèdent dans un ballet incessant, de cabinets en voitures hippomobiles, et se référant à d'autres. Si bien qu'on n'en vient à ne plus reconnaître les morts des vivants. À moins que ça soit le but...