Peut-être vais-je enfin trouver l'apaisement.
O Seigneur des Pâturages, comme je me
suis démené dans ma détresse !
Je regarde ces braves gens par lesquels je
me suis toujours senti tellement attiré, dont
la rude existence m'affectait tant, ces braves
gens que j'aimais tant, et maintenant, dans
mon malheur, je les aime encore plus.
Je les regarde et je les admire. Ils deman-
dent si peu. Ils se contentent d'un rien. Moi
aussi, vers la fin, je voulais me contenter de
très peu. De très peu, et non pas de peu,
parce que j'étais extrême en tout, comme
on dit.
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