Ce récit, présenté comme un récit pour enfant, est très dur. La mort des animaux et des hommes étant au centre des trois parties. Concernant la mort des animaux, c'est l'intervention de l'homme, voire son désir de les posséder, qui est en cause. du côté de l'humain, le récit revient sur le lien à la terre, la rudesse des hommes et l'idée d'appartenir à quelque chose de plus grand que soit.
Côté langue, comme toujours, Steinbeck nous offre une belle plume où poésie et simplicité se mêlent délicieusement. J'y ai retrouvé des accents de
Richard Wagamese, autre immense auteur que j'adore et je me suis demandée si ce dernier n'avait pas été un grand lecteur de Steinbeck.
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