Ma critique sera forcément partiale : je considère Steinbeck comme un des plus grands écrivains de tous les temps.
Le recueil contient 4 nouvelles, dont «
Le Meurtre» qui donne son titre à cet extrait de «
La grande vallée».
Cette nouvelle, en particulier, je l'ai lue, puis j'ai claqué le livre en le refermant. Et j'ai été prise de vertige en mesurant quel long combat c'est, d'être une femme, et de vivre dans nos sociétés. Depuis si longtemps. Aujourd'hui on parle, on dénonce Weinstein et ceux de sa porcherie. Mais déjà, quand Steinbeck a écrit, les relations entre hommes et femmes étaient si inégales, que les femmes elles-mêmes entretenaient ce dysfonctionnement.
Commenter  J’apprécie         30