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Critique de Bulsara
Un samedi matin, Rico, notre jeune héros berlinois, erre sans but devant son immeuble lorsqu'un détail insolite attire son attention : une nouille solitaire, abandonnée lâchement sur le trottoir! Après examen et vérification complète, la dite nouille est classée dans la famille des "rigatoni". Cette pièce à conviction en poche, Rico et son ami surdoué Oscar se lancent dans une enquête qui les mènera au-delà des limites de la gastronomie italienne.... Tout au long du roman, kidnappings en série et dégustations de mini tartines seront au rendez-vous.
Nous suivons l'avancée des investigations à travers le journal intime de Rico, qui se révèle être un personnage hors du commun. En effet, ce dernier se présente comme un enfant "maldoué".
D'un côté, il y a les personnes exceptionnelles, comme Oscar, capables de résoudre, de tête, d'immenses divisions et de l'autre, il y a Rico. Un garçon de dix ans un peu lent, qui ne sait pas compter, qui ne reconnait pas sa droite de sa gauche et dont le cerveau s'emballe parfois comme les boules du loto avant le tirage. Refusant d'être qualifié de handicapé ou de déficient, la curiosité insatiable de Rico et l'amitié sincère d'Oscar font de lui le plus doué des enfants "maldoués".
La question du handicap mental est abordée de manière franche et décomplexée mais ne constitue pas le sujet principal du roman, qui est avant tout un polar! L'auteur nous présente la déficience de Rico comme une particularité, telle que la couleur des yeux ou des cheveux, et non comme la caractéristique principale de son être. Ce roman est étonnant! Il arrive à transformer une intrigue policière classique en un grand moment d'humour absurde tout en faisant réfléchir le lecteur sur la perception et l'acceptation du handicap mental.
Nous suivons l'avancée des investigations à travers le journal intime de Rico, qui se révèle être un personnage hors du commun. En effet, ce dernier se présente comme un enfant "maldoué".
D'un côté, il y a les personnes exceptionnelles, comme Oscar, capables de résoudre, de tête, d'immenses divisions et de l'autre, il y a Rico. Un garçon de dix ans un peu lent, qui ne sait pas compter, qui ne reconnait pas sa droite de sa gauche et dont le cerveau s'emballe parfois comme les boules du loto avant le tirage. Refusant d'être qualifié de handicapé ou de déficient, la curiosité insatiable de Rico et l'amitié sincère d'Oscar font de lui le plus doué des enfants "maldoués".
La question du handicap mental est abordée de manière franche et décomplexée mais ne constitue pas le sujet principal du roman, qui est avant tout un polar! L'auteur nous présente la déficience de Rico comme une particularité, telle que la couleur des yeux ou des cheveux, et non comme la caractéristique principale de son être. Ce roman est étonnant! Il arrive à transformer une intrigue policière classique en un grand moment d'humour absurde tout en faisant réfléchir le lecteur sur la perception et l'acceptation du handicap mental.
