Macchabées blues

Nous sommes dans les années 50, à Paris. Une aide-ménagère se rend chez son patron et le découvre refroidi, la tête écrabouillée par… un fer à repasser. le commissaire Rosier va devoir mener l'enquête. Cette dernière va s'avérer complexe. Il va devoir faire preuve de patience avec Louis, le jeune stagiaire, dans un premier temps. Et surtout, dans un second temps, il découvre que la victime n'est pas aussi innocente qu'on aurait pu le penser…

J'ai adoré ce polar ! L'ambiance de l'époque est parfaitement retracée, tant dans les descriptions que dans la langue employée. J'ai eu l'impression, tout au long de ma lecture, d'être dans un film de Chabrol ou de Lautner, pour mon plus grand plaisir. de plus, l'humour, bien présent sans toutefois dénaturer le texte, vient ajouter un côté plaisant à l'enquête. J'ai vraiment passé un excellent moment !

Merci à Librinova pour cette belle découverte !
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Massacre au fer à repasser 


Pour ma part,


Macchabées blues : ce titre, comme une mélodie saugrenue, a d'emblée suscité ma curiosité; moi qui ne lit que rarement des romans estampillés policiers, je me dis que pour une fois, je vais sortir de ma zone de confort.


Et quelle escapade !!


Macchabées blues est un polar truculent qui nous entraîne dans le sillage du magnétique commissaire Rosier et de sa belle équipe d'inspecteurs Noury, Cartier, Rochas sans oublier Pujol, la nouvelle recrue, dans le Paris des Trente Glorieuses, fin 1959.


Un homme est retrouvé chez lui mort, méconnaissable, le ciboulot haché menu comme chair à pâté. L'arme du crime est un fer à repasser, un mode opératoire pas banal, nous en conviendrons. 


L'enquête de la bande à Rosier commence donc sous de bien singulières auspices et nous mènera par tous les chemins improbables vers le(s) vrai(s) coupable(s).


J'ai adoré le style d'Olivier Stephani, qui rend hommage aux grands films policiers français avec des réparties savoureuses et des situations rocambolesques comme on savait y faire dans les années 50.


Le ton de l'humour, le jargon et la franche camaraderie omniprésente dans le récit n'empêchent pas de traiter des sujets graves comme la guerre, la collaboration, la vengeance, etc. 


Mention spéciale : avis aux amatrices et amateurs de surnoms idiomatiques; vous allez vous régaler avec des références pittoresques telles que Patte Folle, Paulo-les Bretelles, Pif-en-Biais, Bébert les Dents Jaunes, j'en passe et des meilleures.


+ À lire : Un polar drôlissime, rétro et sans prise de tête surtout si on est un peu néophyte comme moi. 


https://www.aikadeliredelire.com/2023/11/librinova-macchabees-blues-dolivier.html?m=1

Vous aimez les comédies policières façon Lautner, dans le Paris gouailleur des années 50/60 ? Vous allez vous régaler avec ce polar bien mené qui reconstitue efficacement cette France prise entre la fin de la guerre et la modernité.

Le charismatique commissaire Rosier et son équipe se retrouvent à devoir protéger des bandits notoires décimés les uns après les autres de manière fort peu ordinaire. Leur point commun ? le braquage d'une bijouterie dont le cerveau aurait été spolié de sa part de butin qui chercherait à se venger. Mais, est-ce aussi simple que cela ?

Avec beaucoup d'humour – les scènes du chien et celle de l'hôpital sont impayables – O.Stephani nous replonge dans l'univers mythique des grands flics du 36 et des grands noms du mitan aux surnoms cocasses de Paulo les bretelles et autre Monsieur Max. C'est aussi l'occasion pour l'auteur de revenir sur les heures sombres de l'Occupation où le Tout-Paris frayait avec le gotha nazi dans des lupanars de luxe où le champagne coulait à flot pendant que le peuple mourait de faim. Dans cette époque troublée, les policiers et la pègre s'entendaient soit à collaborer avec l'envahisseur soit à lui résister… mais ça, c'était avant… ou pas !

Bref, quelques fautes mériteraient d'être corrigées (et pour info c'est Ravaillac et non Ravagnac qui a occis Henri IV !) mais on se laisse embarquer dans ce polar délicieusement vintage. Mention spéciale à Rochas, mon personnage préféré, juste, drôle, tendre et très professionnel.

Je recommande ++ pour une agréable lecture d'été.

Le commentaire de Cathy :
Olivier Stephani nous offre un roman captivant digne des polars français lu quand j'étais plus jeune.
L'auteur nous propulse dans un Paris de la fin des années 50 où un homme est retrouvé assassiné à coup de fer à repasser, il ne reste plus grand-chose de sa tête qui a été réduite en bouillie.
Règlement de compte ? Crime passionnel ?
Le commissaire Rosier et son équipe s'emparent aussitôt de l'affaire. Une première expérience de taille pour Louis Pujol, nouvelle recrue qui a encore tout à prouver.
Une fois que l'identité du mort est faite l'enquête va très vite basculer, la victime était un célèbre braqueur, en cavale depuis des années sous un nom d'emprunt.
Pas le temps de tergiverser pour le commissaire et son équipe : une autre tête est sur le point de tomber.
Je viens de passer un très bon moment de lecture, j'ai aimé l'ambiance créée par l'auteur, il nous propose un roman policier à l'ancienne, avec des dialogues truculents, j'ai souvent souri avec les échangent entre les différents protagonistes, il faut dire que le jargon utilisé nous fait plonger dans une tout autre époque.
Le suspense nous tient en haleine, j'ai dévoré cette lecture, j'ai beaucoup aimé l'équipe du commissaire Rosier, chacun est différent, mais ma préférence va vers Pujol, pour qui c'est la première grosse affaire, j'espère avoir l'occasion de retrouver cette équipe lors d'une prochaine lecture.
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Un grand merci aux éditions Librinova pour m'avoir permis de lire ce livre coup de coeur, je suis un grand fan de ce genre de livre.

L'histoire se déroule durant l'hiver 1959 sur Paris où un commerçant est retrouvé mort, sa tête en charpie. Il semblerait que l'assassin est utiliser un fer à repasser rendant le macchabée non identifiable; Est ce un règlement de compte, un crime passionnel? le commissaire Rosier et son équipe enquêtent sur cette affaire. Pour Louis Pujol c'est sa première affaire. Très vite l'affaire bascule, le mort est identifié un célèbre braqueur en cavale sous un nom d'emprunt. Les enquêteurs doivent se dépêcher car un autre macchabée pourrait bien être retrouvé.

Un livre lu d'une traite tellement je suis rentré dans l'histoire dès le début avec une histoire captivante, addictive, remplie de suspens et de rebondissements avec des personnages très attachants.

Si vous aimez les anciens films à la Jean-Paul Belmondo, Lino Ventura je ne peux que vous recommander ce livre.
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Merci à Mathieu de chez @librinova pour ce SP.
J'ai franchement adoré ce polar qui se passe en 1959.
L'enquête commence sur un crime assez sanglant : un homme est retrouvé mort, le visage écrasé à coups de fer à repasser. L'équipe du commissaire Rosier est sur le coup, car il s'avère que cet homme n'est autre qu'un célèbre braqueur de bijouterie en cavale ! Règlements de compte en plein Paris ? Crime passionnel ? Il faut faire vite car d'autres têtes tombent.
On se retrouve plongé dans un Lautner avec des dialogues à la Audiard ! Des surnoms tels que Paulo les bretelles, Bobo l'Arsouille, Lulu-le-Moustachu, un phrasé gouailleur, on imagine Gabin, Blier et Lino !!!
Et beaucoup d'humour ! La scène du chien est vraiment géniale !!
L'écriture est très fluide et agréable, un plaisir de se retrouver dans un polar à l'ancienne, en immersion dans le Paris de fin de guerre, des flics du 36 et les bandits d'un autre temps !
J'espère qu'il y aura une suite !
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Un policier avec beaucoup d'humour ! J'adore !!
Le commissaire Rosier, dans les années 1950, m'a totalement convaincue, ainsi que son équipe.
Ils se lancent dans une enquête qui commence sur les chapeaux de roue. Un homme est mort... le visage écrasé par un fer à repasser. Pas facile pour Louis Pujol, le petit nouveau de l'équipe, à qui son estomac joue des tours...
Le mort, lui, a une identité cachée...
Mais qui a pu faire un tel massacre ?

Une chose est sûre, vous serez surpris !

J'espère avoir l'occasion de lire d'autres enquêtes du commissaire Rosier.

Une écriture très agréable, avec un bonus grâce à toutes les vielles expressions qui m'ont faites beaucoup rire !
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