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Critique de bdelhausse
Un château hanté avec un enfant qui y a été décapité, deux gamines qui aiment faire peur et se faire peur... voilà les ingrédients principaux pour ce volume très correct de "Chair de Poule".
Bien sûr, il y a pas mal d'incohérences, on sait de quoi les tomes de la série sont faits. Peu importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse, comme on dit. Mais parfois cela coince quand même dans les explications et les enchaînements, dans les coïncidences. C'est un peu simpliste, davantage que dans d'autres de la série.
Les fins de chapitres font toujours bien sursauter et appellent le chapitre suivant. C'est la marque de fabrique de la série, bien sûr. Quelques passages sont réellement dérangeants. Décapiter une gamine n'est certes pas un acte banal. Mais nous avons trouvé ce tome un ton en dessous de ce que nous avions déjà lu.
La fin est, par contre, assez flippante et scotchante, en deux temps. Mais ne comptez pas sur moi pour vous la dévoiler. Disons simplement que le livre se termine sur un grand point d'interrogation et d'exclamation qui plonge le jeune lecteur dans le questionnement existentiel... Mon aîné m'a ensuite demandé, très sérieusement, "dis papa, les fantômes, cela existe vraiment?"...
Bien sûr, il y a pas mal d'incohérences, on sait de quoi les tomes de la série sont faits. Peu importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse, comme on dit. Mais parfois cela coince quand même dans les explications et les enchaînements, dans les coïncidences. C'est un peu simpliste, davantage que dans d'autres de la série.
Les fins de chapitres font toujours bien sursauter et appellent le chapitre suivant. C'est la marque de fabrique de la série, bien sûr. Quelques passages sont réellement dérangeants. Décapiter une gamine n'est certes pas un acte banal. Mais nous avons trouvé ce tome un ton en dessous de ce que nous avions déjà lu.
La fin est, par contre, assez flippante et scotchante, en deux temps. Mais ne comptez pas sur moi pour vous la dévoiler. Disons simplement que le livre se termine sur un grand point d'interrogation et d'exclamation qui plonge le jeune lecteur dans le questionnement existentiel... Mon aîné m'a ensuite demandé, très sérieusement, "dis papa, les fantômes, cela existe vraiment?"...
