Le moins que l'on puisse dire est que je ne suis que rarement monté à bord de l'avion de Noelie, dont la vie romanesque entre Italie et Libye ne m'a fait faire aucun
looping.
J'ai été frustré que le coeur du roman - sa relation avec les touaregs et nomades du désert libyen - ne soit pas davantage développé, tout comme son caractère qui n'a pas suscité chez moi le moindre attachement.
Et sans mauvais jeu de mots, je reste sur un sentiment de survol de ce livre qui lui-même m'a semblé survoler son histoire ou plutôt, beaucoup de petites histoires sans en creuser aucune.
Dommage...
Commenter  J’apprécie         240