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Critique de Borntobealivre
Grâce à Babelio et Harper Collins, je découvre le premier roman de Sara Strömberg.
Nous voici en Suède, à Åre dans le comté de Jämtland, aux côtés de Vera Bergström, qui a raccroché d'une carrière de journaliste qui l'a épuisée pendant des années. Reconvertie en professeure, elle n'en oublie pas pour autant la fièvre qui l'habitait quand elle travaillait sur une enquête. Lorsque le corps d'Isabella est retrouvé non loin de chez elle, lacéré de coups de couteaux, elle décide de reprendre là où elle l'avait laissé, sa casquette de journaliste, vivement encouragée par le patron de son ancien journal.
Nous sommes totalement immergés dans l'ambiance de ce village où tout est froid - même les gens. Les descriptions sont puissantes à faire froid dans le dos (dans tous les sens du terme). L'enquête est prenante, l'alternance de narrations efficace. Pourtant, je dois avouer avoir été souvent surprise par la tournure que prenait l'intrigue, et surtout, la facilité avec laquelle l'enquête pouvait parfois s'éclaircir, avec laquelle Vera obtenait les informations qu'elle cherchait auprès d'habitants pourtant peu enclins à se livrer. Je n'ai donc pas réussi à adhérer complètement à l'enquête et à sa résolution.
Cette lecture fut en tout cas agréable, j'ai apprécié cette glaçante parenthèse suédoise, même s'il m'a manqué quelque chose.
Nous voici en Suède, à Åre dans le comté de Jämtland, aux côtés de Vera Bergström, qui a raccroché d'une carrière de journaliste qui l'a épuisée pendant des années. Reconvertie en professeure, elle n'en oublie pas pour autant la fièvre qui l'habitait quand elle travaillait sur une enquête. Lorsque le corps d'Isabella est retrouvé non loin de chez elle, lacéré de coups de couteaux, elle décide de reprendre là où elle l'avait laissé, sa casquette de journaliste, vivement encouragée par le patron de son ancien journal.
Nous sommes totalement immergés dans l'ambiance de ce village où tout est froid - même les gens. Les descriptions sont puissantes à faire froid dans le dos (dans tous les sens du terme). L'enquête est prenante, l'alternance de narrations efficace. Pourtant, je dois avouer avoir été souvent surprise par la tournure que prenait l'intrigue, et surtout, la facilité avec laquelle l'enquête pouvait parfois s'éclaircir, avec laquelle Vera obtenait les informations qu'elle cherchait auprès d'habitants pourtant peu enclins à se livrer. Je n'ai donc pas réussi à adhérer complètement à l'enquête et à sa résolution.
Cette lecture fut en tout cas agréable, j'ai apprécié cette glaçante parenthèse suédoise, même s'il m'a manqué quelque chose.
