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Critique de moravia
Thierry Sancerre vient de purger cinq années pour un trafic de drogue dont il est étranger. À peine sorti de prison il n'a qu'une idée en tête : retrouver les auteurs de ce coup monté.
Va-t-il découvrir la vérité ? Les témoins qui auraient pu l'aider ont la fâcheuse idée de disparaître de mort violente.
UNE CHANCE SUR CENT de retrouver le coupable.
Jean Stuart qui était jusqu'à ce jour pour moi un inconnu, m'a montré qu'il était capable de faire un récit vif et alerte. Mais aussi, malheureusement, qu'il accumule les invraisemblances, les coups de bol, qui ôtent toute crédibilité à son histoire.
C'est vraiment dommage car j'avais entre les mains un bel exemplaire de la collection "Spécial Police" des années 60.
Le livre était comme neuf. Michel Gourdon avait fait un beau dessin de couverture, l'imprimerie Foucault demeurant au Kremlin-Bicêtre méritait les félicitations du jury.
Seul l'auteur a bâclé le travail : UNE CHANCE SUR CENT...
Va-t-il découvrir la vérité ? Les témoins qui auraient pu l'aider ont la fâcheuse idée de disparaître de mort violente.
UNE CHANCE SUR CENT de retrouver le coupable.
Jean Stuart qui était jusqu'à ce jour pour moi un inconnu, m'a montré qu'il était capable de faire un récit vif et alerte. Mais aussi, malheureusement, qu'il accumule les invraisemblances, les coups de bol, qui ôtent toute crédibilité à son histoire.
C'est vraiment dommage car j'avais entre les mains un bel exemplaire de la collection "Spécial Police" des années 60.
Le livre était comme neuf. Michel Gourdon avait fait un beau dessin de couverture, l'imprimerie Foucault demeurant au Kremlin-Bicêtre méritait les félicitations du jury.
Seul l'auteur a bâclé le travail : UNE CHANCE SUR CENT...
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