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Critique de bdelhausse
2050, dans une Russie tout à fait probable, Vlad, un mercenaire, ex des forces spéciales, hérite d'une fortune. Il y a une condition: il a un an pour trouver son frère jumeau, Igor, et le présenter au notaire. Or, ce jumeau tellement différent de Vlad a disparu depuis 3 mois, en emportant une malette contenant des documents pour lesquels beaucoup semblent prêts à prendre des mesures expéditives pour le moins définitives.
Le parcours sera donc semé d'embûches et Vlad va plonger dans le milieu du show business, où les ennemis n'ont rien à envier aux champs de bataille sur lesquels Vlad a gagné ses galons.
Il y a des réminiscences de Bilal, des emprunts ou des hommages à différentes BD. Mais c'est poussif, assez convenu dans le portrait d'une société russe décadente, et on a un peu de mal à se prendre d'empathie pour Vlad. Et même, à certains moments, qu'il retrouve son frère ou pas, cela ne m'a fait ni chaud ni froid.
Bilan... Swolfs au scénario ne fait pas dans le détail... ... Et là, contre toute attente, j'apprécie même si on a l'impression que c'est sucé et resucé. Il y va à la truelle, à la kalash, au rouleau-compresseur, mais ça passe. Cette société russe déliquescente est palpable, elle suinte, elle irradie... c'est le vrai personnage principal de la BD. On devine que Swolfs en a encore sous le coude encore, pour les tomes suivants. C'est du diesel, cela met du temps à démarrer. Mais au final, il y a une atmosphère, sombre et violente qui s'impose.
Par contre Griffo n'est pas au top de son art. Je l'ai connu plus inspiré. Pourtant il sait dessiner. Ici, quelques perspectives ratées, des mouvements qui ne rendent rien, des corps mal proportionnés... certaines planches sont un véritable festival d'erreurs impardonnables. Bizarre, vous avez dit bizarre.
Bref, à boire et à manger, comme on dit. On tentera un tome ou deux afin de voir si ce bilan mitigé se confirme.
Le parcours sera donc semé d'embûches et Vlad va plonger dans le milieu du show business, où les ennemis n'ont rien à envier aux champs de bataille sur lesquels Vlad a gagné ses galons.
Il y a des réminiscences de Bilal, des emprunts ou des hommages à différentes BD. Mais c'est poussif, assez convenu dans le portrait d'une société russe décadente, et on a un peu de mal à se prendre d'empathie pour Vlad. Et même, à certains moments, qu'il retrouve son frère ou pas, cela ne m'a fait ni chaud ni froid.
Bilan... Swolfs au scénario ne fait pas dans le détail... ... Et là, contre toute attente, j'apprécie même si on a l'impression que c'est sucé et resucé. Il y va à la truelle, à la kalash, au rouleau-compresseur, mais ça passe. Cette société russe déliquescente est palpable, elle suinte, elle irradie... c'est le vrai personnage principal de la BD. On devine que Swolfs en a encore sous le coude encore, pour les tomes suivants. C'est du diesel, cela met du temps à démarrer. Mais au final, il y a une atmosphère, sombre et violente qui s'impose.
Par contre Griffo n'est pas au top de son art. Je l'ai connu plus inspiré. Pourtant il sait dessiner. Ici, quelques perspectives ratées, des mouvements qui ne rendent rien, des corps mal proportionnés... certaines planches sont un véritable festival d'erreurs impardonnables. Bizarre, vous avez dit bizarre.
Bref, à boire et à manger, comme on dit. On tentera un tome ou deux afin de voir si ce bilan mitigé se confirme.
