AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Polomarco


Budapest, deuxième moitié du vingtième siècle.
L'histoire d'une relation entre deux femmes que beaucoup de choses opposent : l'une est écrivain, l'autre est sa femme de ménage, Emerence SZEREDÁS. La première habite un grand appartement. La seconde, une loge de concierge, où elle n'a jamais laissé entrer personne : le nom du roman tire donc son nom de cette porte, que personne n'a pu franchir.
Je n'ai pas pu terminer la lecture de ce roman ; je me suis arrêté à la page 177, très éprouvé par l'énergie que cette lecture m'a demandé, au regard du faible intérêt du récit. Des phrases longues, qui exigent une concentration élevée ; des personnages dont on parle, sans qu'ils aient été présentés correctement ; une succession ininterrompue de faits et de détails insignifiants, qui égarent le lecteur et ne lui permettent pas de prendre prise dans le récit ; une part de fantastique et d'invraisemblance qui déroute (Viola, le chien, qui a des comportements humains), etc. Tout ceci donne au roman un caractère décousu, procure une impression de longueur et explique, une fois n'est pas coutume, que j'ai arrêté ma lecture en cours de route. Aller plus loin dans la lecture était au-delà de ma volonté. A défaut de la lire en entier, j'ai donc pris la porte.
Commenter  J’apprécie          40



Ont apprécié cette critique (4)voir plus




{* *}