Dans ce recueil de
poèmes datant de 1920, Tablada s'inspire de la calligraphie japonaise pour créer des compositions idéographiques proches des
calligrammes d'
Apollinaire.
Sa poésie devient ainsi simultanément verbale et picturale dans un processus de synthétisation qui semble selon l'auteur seul capable d'exprimer la vie moderne dans son dynamisme et sa multiplicité.
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