Dans «
Un bruit de balançoire »
Christian Bobin adresse plusieurs textes à ce poète ermite japonais . Cela m'a amené à reprendre le recueil que je possédais et à retrouver la beauté fulgurante mêlée à la plus extrême simplicité qui caractérise ce maître du haïku . L'édition « Verdier » que je possède donne le texte en japonais à la fois en caractère occidentaux et en calligraphie japonaise (car
Ryôkan fut aussi calligraphe » .
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