La littérature japonaise, souvent lue à travers les publications de l'atelier Akatombo, ça passe ou ça casse avec moi, mais elle ne me laisse jamais indifférent.
Je la retrouve avec
Okuribi : renvoyer les morts, de
Hiroki Takahashi, traduit par
Miyako Slocombe, sélectionné dans le cadre du prix Harper Collins poche. Et je dois bien avouer que je m'y suis ennuyé ferme.
Cette histoire de harcèlement scolaire et d'apprentissage qui monte en puissance et en noirceur tout au long du livre ne m'a ni happé, ni passionné. Certes le style est poétique et l'exceptionnel environnement naturel particulièrement bien décrit.
Mais je suis resté hermétique à cette histoire trop faible et à distance de ce livre, un peu traversé. Pas grave, il a manifestement plu à beaucoup d'autres.
Commenter  J’apprécie         331