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Critique de Sagel


Stephen KING a encore touché une poignée de dollars pour une phrase dithyrambique à propos de c.e livre.
L'auteur a mis 8 ans pour écrire ce livre de 455 pages. Il aurait pu se contenter de 4 à 5 ans et de 300 pages, nous épargnant des situations et descriptions aussi répétitives que lassantes.
Donc, il s'agit de l'emprise malsaine d'un père sur son adolescente de quatorze ans et du déchirement entre amour et haine de la gamine pour son père, et du manque total de confiance et de considération en elle. Toujours exprimées en terme inutilement grossiers. Une variation sur le complexe de Stockholm. Par essence, l'inceste fait partie du décor. Il est évoqué une première fois. Mais revient en violence, par derrière, debout contre porte (et Turtle ne porte pas de culotte sous son jean). Je m'interroge sur les fantasmes de l'auteur ...
Et puis, l'auteur est un naturaliste passionné qui nous décrit toute les plantes, et leurs phases succëssives, poussant en Caroline du Nord. Ma batterie de téléphone en a pris un coup à force de consulter Google ! Mais, son admiration absolue va au séquoia. A l'arbre majestueux, mais aussi multi usages aux quatre coins de la maison pouilleuse du père et de la fille.
Enfin, je soupçonne l'auteur d'avoir été subventionné par la NRA, car les armes, leur description, leur usage, leur calibre, leur type de projectiles et, enfin, la description détaillée du démontage/nettoyage/remontage sont soigneusement décrits. Et démontre qu'une gamine de quatorze ans peut être bien meilleure au tir que Lucky Luke.
Bien. J'arrête là. Comme j'ai arrêté à la page 335.
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