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Critique de nanouche


Vienne, 1904. Un homme est retrouvé abattu d'une balle dans la tête et le visage détruit à l'acide. En face du corps, trois chaises alignées comme pour un jury d'honneur. Pour résoudre cette affaire, l'inspecteur de police Oskar Rheinhardt et son ami le médecin psychiatre Max Liebermann sont ouverts à l'utilisation des techniques les plus en pointe de l'époque : empreintes digitales pour Rheinhardt, analyse des suspects pour Liebermann, disciple de Freud. Nos héros seront amenés à enquêter dans les rangs des militants anarchistes qui prônent l'égalité femmes-hommes et l'amour libre et sont prêts à pratiquer des « actes de propagande par le fait » (= attentats) pour faire avancer leurs idées.

Voici une série que j'ai suivie depuis son premier épisode. En 2011 l'éditeur annonçait en quatrième de couverture de Petite musique de la mort que la série se terminait là. Je l'ai cru. Je découvre donc avec retard qu'un septième tome est paru en 2018. Aussitôt je le commande chez mon libraire. Je retrouve avec plaisir ce duo d'enquêteurs. Amateurs de musique, les deux amis se retrouvent aussi pour pratiquer : Max joue du piano et Oskar chante. Je trouve la description de leur vie privée fort sympathique. Amoureux d'Amelia Lydgate, une jeune scientifique britannique, Max hésite à la présenter à ses parents car elle n'est pas Juive. Epoux amoureux et père de famille attentionné, Oskar enseigne à sa fille comment se défendre contre une camarade harceleuse. C'est une lecture plaisante.
Lien : http://monbiblioblog.revolub..
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