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Critique de Phoenicia
Une chouette lecture pour accompagner une semaine particulièrement intense. Dans ce 8e opus, on retrouve l'atmosphère familière et déjantée de l'équipe de St Mary, ses démêlés avec Ronan et la Police du Temps. On pourrait se dire que c'est un énième temps dans lequel Max fait des gaffes au nom de certaines valeurs, ce qui lui attire immanquablement des ennuis. En effet, des ennuis il lui arrive, mais pas de son fait. de nouveau, l'équipe n'est pas épargnée, Max de manière plus précise. le tome partage ses actions entre les sauts dans le temps, les frasques de l'institut (oui, oui il y en a, le match de croquet / Cricket... bien que ça ne batte toujours pas la chasse aux dodos, mais il faut dire qu'il y a du niveau!) et la vie de Max. Sur ce dernier point, j'ai trouvé très bien que l'autrice décide de nous faire voir une Max loin d'être une mère parfaite, accomplie. Ca n'aurait pas convenu à son caractère et ça rend ce qui arrive d'autant plus émouvant. Cet opus m'a en effet fait passer du rire aux larmes. Nouvelle tonalité également dans les sauts dans le temps. Il y en a moins, c'est moins des sauts de puces qu'une réelle mission détaillée où pour une fois tout ne foire pas. Honnêtement, j'ai plus qu'apprécier. Quant au final, il arrive au bon moment et les scènes décrites m'ont quelques peu donné la nausée ( après je suis hyper sensible sur ce genre de choses... ^^). Bref, pour moi, ça a été un excellent tome, adapté au moment.
