Caroline Baldwin, tome 4 : La dernière danse

C'est Cuba ! C'est le rythme enivrant des tropiques et de l'amour !

Rhum blanc Havana Club, sucre de canne, citron vert, glace pilée et une pointe de marasquin. Tout est dans le dosage !

Qu'est-ce qu'une beauté comme toi peu faire avec une fille ?! Viens dans ma chambre, je vais te faire changer de bord.

Pourriez-vous prendre un colis pour un de mes amis à La Havane ?

Comme vous le savez sûrement, je suis d'origine cubaine. J'ai quitté mon pays suite à la déroute de Batista et à l'avènement de Castro. J'ai réussi à m'établir ici, en Floride, et à faire fortune assez rapidement dans le secteur de l'agro-alimentaire. Tous les champs et les plantations que vous voyez là-bas à perte de vue jusqu'à l'horizon, sont à moi. Mais malgré tout, mon cœur est toujours à Cuba j'y ai encore de soldes amitiés et une partie de ma famille y vit toujours.

On patauge ! C'est la merde la plus complète ! Pas la moindre piste sérieuse !

Le châtiment divin ! Ceci est l'exemple de ce qui attend tous ceux qui osent transgresser la morale et les saintes écritures !

Nous sommes en Amérique, shérif ! Nous voulons la vérité ! Tout citoyen y a droit !

La police a découvert un entrepôt abritant des dizaines de vieilles voitures américaines des années 1950 appartenant à Tim Allen. D'après Caroline, elles proviendraient de Cuba.

Ce jour-là, la ligue de moralité du colonel Norton a investi une petite station-service pour y brûler toutes les revues légères que contenait le rayon librairie.