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Critique de fnitter


Décevant.
Après les araignées, les poulpes et un parasite bien roublard.

Construit comme le tome précédent, on retrouve nos Portidés et les Humains, en bonne intelligence, comme on les avait laissés à la fin.
Direction une nouvelle planète qui, surprise, a aussi fait l'objet d'une approche de « l'ancien Empire » ce qui a eu pour effet de développer (cette fois consciemment) une nouvelle espèce intelligente. Les poulpes.

On alterne donc, séquences sur le passé, humains ancienne génération, espèce en devenir pour les octopodes et le présent. Affrontement d'intelligences avec l'énorme écueil de la communication inter espèce.
Si Portidés, Humains et IA ont réglé, ou presque, leurs problèmes de communication, on retrouve là un nouveau système fondé sur les couleurs, les émotions. Et gardons nous de tout anthropomorphisme.

Ce que j'avais le plus aimé dans le premier tome, c'était l'histoire et l'ascension des Portidés, m'ennuyant avec les humains. Et dans ce tome, on est quasiment mis devant le fait accompli, on découvre une nouvelle espèce, déjà évoluée, ayant même par moment dépassé l'ancienne technologie. Mais pour quelle utilisation ? Et j'ai du coup, moyennement apprécié les interactions inter espèces.
Sans compter les relations avec le parasite. On se demande si l'auteur n'avait pas en tête deux possibilités, poulpes et parasites, mais pas assez de matière pour faire un livre sur chaque concept.
Parce que c'est là que le bât blesse. La matière. On ne découvre ni n'apprenons grand-chose. Scientifiquement parlant (Hard science) c'est survolé, pas de sens of wonder, pas d'épique, pas de surprises.

Bref, décevant.
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