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Critique de Mouaismouais
Nous nous trouvons dans un monde post-troisieme guerre mondiale. le monde est aliéné par la CoPra, une entreprise gérant les implants, et tout ce qui se passe autour.
Luna est ''refusante'', elle ne veut pas avoir d'implant, suivant les cours dans une petite classe de gens comme elle, marginaux. Malgré ses coups d'éclats et sa moyenne, disons, dans la moyenne, elle est acceptée pour les évaluations de la CoPra, les meilleures du pays.
Pour ce qui est de ma lecture, disons que ce fut intense. Je n'ai pas lâché mon livre pendant 4-5h jusqu'à 2h30 du mat. A noter que ce n'est pas forcément un gage de qualité. En effet, on va de clichés en clichés : implants, réalité virtuelle, addiction, suprématie d'une entreprise privée dans tous les domaines, complots, pouvoirs particuliers, héroïne capable de tout en un rien de temps... Mais bon, de temps en temps, se replonger dans les clichés permet d'explorer sa part de nostalgie.
Au début, j'étais un peu rebutée par le style (il faut dire que je viens de terminer madame bovary, ce n'est forcément pas le même niveau) mais je me suis habituée au bout d'une cinquantaine de pages.
Que puis-je rajouter ? Pas grand chose.
(C'est drôle, avant d'avoir écrit ma critique, je croyais que j'avais aimé ce livre)
En somme : livre lisable si vous aimez les clichés et voulez vous perdre dans une lecture addictive.
Luna est ''refusante'', elle ne veut pas avoir d'implant, suivant les cours dans une petite classe de gens comme elle, marginaux. Malgré ses coups d'éclats et sa moyenne, disons, dans la moyenne, elle est acceptée pour les évaluations de la CoPra, les meilleures du pays.
Pour ce qui est de ma lecture, disons que ce fut intense. Je n'ai pas lâché mon livre pendant 4-5h jusqu'à 2h30 du mat. A noter que ce n'est pas forcément un gage de qualité. En effet, on va de clichés en clichés : implants, réalité virtuelle, addiction, suprématie d'une entreprise privée dans tous les domaines, complots, pouvoirs particuliers, héroïne capable de tout en un rien de temps... Mais bon, de temps en temps, se replonger dans les clichés permet d'explorer sa part de nostalgie.
Au début, j'étais un peu rebutée par le style (il faut dire que je viens de terminer madame bovary, ce n'est forcément pas le même niveau) mais je me suis habituée au bout d'une cinquantaine de pages.
Que puis-je rajouter ? Pas grand chose.
(C'est drôle, avant d'avoir écrit ma critique, je croyais que j'avais aimé ce livre)
En somme : livre lisable si vous aimez les clichés et voulez vous perdre dans une lecture addictive.
