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Critique de Vanechka


C'est une édition Prestige de près d'un kilogramme et de quelques sept centaines de pages que Delcourt/Tonkam propose à 29.99 euros.


De quoi se compose-t-elle ?

- D'une jaquette aux couleurs aigue-marine, bleue charron foncée et blanche.
- D'une couverture couleur or jaune.
- D'une préface de Patrick Honnoré ; d'un extrait d'une postface de Tezuka Osamu, d'une galerie des personnages et bien sûr du manga Ayako.


Que penser de celui-ci ?

- Doucement l'intrigue se met en place et nous enserre dans quelque chose de malsain, au niveau de la famille Tengé comme du Japon.
- Tezuka livre une critique en règle de l'après-guerre, des magouilles, du rôle trouble de l'occupant américain, de la place des femmes.
- Ayako c'est aussi et bien sûr un drame familial poignant, un clan qui ne peut plus être ce qu'il a été, un honneur perdu préservé à n'importe quel prix, une fille en boîte que l'on veut effacer.
- Les propos au début du manga ont un côté redondant. le rendu ne fait pas toujours naturel.
- Deux fins sont proposées : celle de la version prépubliée et celle de la version reliée (plus sombre).


Les mots de la fin

Même si le terme est galvaudé, Ayako fait partie des incontournables.
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