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Critique de magalette


De par chez nous, Franck Thilliez a peuplé nos nuits insomniaques. Mon mari et moi sommes de grands inconditionnels. Nous attendions donc avec impatience l'opportunité de lire les premiers tomes de cette BD estampillée jeunesse. Nous bouclons le tome trois plutôt emballés malgré les thématiques ados. Tristan et Esteban, deux jeunes lycéens partagent leur temps entre les cours et une activité nocturne peu banale, celle de se balader dans les cauchemars des patients admis dans la clinique de leur père, le professeur Angus. En effet, cet étrange médecin qui cache à son fils Tristan les causes véritables de la disparition de sa mère et à Esteban, son fils adoptif, ses véritables origines, a trouvé un moyen révolutionnaire de soigner les névroses adolescentes : pénétrer leurs rêves et faire disparaître dans leurs cauchemars la source même de leurs maux. Mais ces balades nocturnes ne sont pas sans danger pour les deux garçons qui risquent gros à chaque incursion dans les cauchemars d'autrui. Dans le premier tome, c'est une jeune fille de leur âge, Sarah, qu'ils ont pour mission de « soigner » et qui devient dés le second tome, un personnage central. Dans le tome 2, nous avons un petit avant-goût des secrets du professeur Angus qui accroche plutôt efficacement le lecteur au scénario : le professeur cache en effet dans le sous-sol de la clinique, un étrange patient, très instable et ligoté dans sa camisole, vraisemblablement responsable de la disparition de la maman de Tristan. Bref, des histoires enchâssées les unes aux autres et une atmosphère assez sombre et mystérieuse portée par des dessins atypiques mais efficaces. le tome 4 venant de sortir, nous allons sans tarder investir !
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