Nan mais quelle angoisse ! J'ai un côté claustro alors j'aurai dû m'en douter...
J'avais comme une sorte de fascination/répulsion à l'écoute de ce récit.
Jonathan se réveille au fond d'un gouffre, enchaîné, en compagnie de son chien et de deux inconnus, Michel avec un masque de fer et Farid enchaîné à la cheville. Et la lutte pour la survie commence : jusqu'où est-on prêts à aller pour vivre ?
La tension et l'angoisse étaient permanentes pour moi, simple lectrice. La perte des repères, les ressources qui s'amenuisent, les conflits qui couvent et explosent, le passé qui affleure puis surgit, la folie qui guette...tous les éléments sont là pour faire monter la tension.
Commenter  J’apprécie         202