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Critique de cmpf



Le point de départ de ce roman est le fait que lorsque la cathédrale romane de Chartres a brûlé en 1196 les plans pour la reconstruire paraissaient déjà prêts.

Si j'ai beaucoup apprécié le début de ce roman, j'ai été un peu déçue au fur et mesure que j'avançais.
Aubertin est maître d'oeuvre sur Notre Dame de Paris. Il est marié à Ermeline et a recueilli un enfant qui travaillait sur le chantier quand le père de celui-ci est mort. Ses trois fils, nés d'Ermeline sont partis en croisade. Ermeline qu'il aime profondément meurt et Aubertin n'a plus qu'une envie sculpter son épouse pour ne pas oublier, à une époque où seuls les riches pouvaient se faire portraiturer.
Il accepte une mission en Terre Sainte et part avec son fils adoptif Sauvejoie d'une vingtaine d'année, véritable bourreau des coeurs. Il espère aussi retrouver ses fils. le périple est bien sûr long et difficile, d'autant qu'il doivent ramener une flamme venue du Buisson Ardent et entretenue sans interruption depuis. Les rencontres sont importantes et changeront père et fils.
Je n'ai pas bien compris pourquoi il fallait revenir à une date si précise en une époque où je ne suis pas certaine qu'en dehors du clergé pour les célébrations chrétiennes, les gens aient eu une conscience nette de la date. D'ailleurs même pour le clergé ce n'était pas si net que cela puisque c'est vers la fin du 16ème que l'on supprima 10 jours pour faire de nouveau coïncider l'équinoxe de printemps avec le 21 mars. Ce genre d'approximation me gêne toujours dans un récit historique.
Quant au style, il est très poétique mais peut finir par être lassant.
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