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Critique de GigiFro
L'évasion raconte une belle histoire sur la parentalité, sur l'enfance, sur l'innocence et le pouvoir de l'imagination.
J'ai apprécié cette histoire, surtout par sa construction. Pour ceux qui aiment la découverte, les surprises, ils seront ravis. Puisqu'au départ on pense à un policier, avec la description d'un terrible "méchant". Puis, nous avons le point de vue d'Alice, une fille à l'imagination débordante ! Puis, les adultes. Ses parents Yann, un papa gâteau, un peu trop baba cool et Sophie, une femme touchante malgré son côté hyper rationnel. A leurs côtés, on a des brefs interludes de "fantaisie" sous la personne de Jacques Lenoir, ce méchant si méchant qu'il paraît une caricature. Face à notre monde et à sa violence, à ces drames, on aimerait bien aussi que les choses soient aussi simples qu'Alice les voit. Convertissons les méchants pour qu'ils deviennent des "gentils" !
Les plus :
A la lecture, les personnages prennent vie. On les accompagne, on réagit avec eux.
J'ai apprécié l'innocence bien transcrite dans les mots d'Alice. Les aspects caricaturaux de la méchanceté de Jacques Lenoir (j'aurais aimé en voir plus). Je suis peut être la seule, mais je me suis identifiée à Sophie, je pense que les vrais soucis de femme / maman ont bien été retranscrits.
Les moins :
La fin est un peu trop expéditive et le raisonnement n'est pas poussé plus loin. Et j'aurais aimé voir plus Jacques Lenoir !
La forme est maîtrisée. Agréable à lire. Personnages touchants. Une réussite pour un premier roman !
J'ai apprécié cette histoire, surtout par sa construction. Pour ceux qui aiment la découverte, les surprises, ils seront ravis. Puisqu'au départ on pense à un policier, avec la description d'un terrible "méchant". Puis, nous avons le point de vue d'Alice, une fille à l'imagination débordante ! Puis, les adultes. Ses parents Yann, un papa gâteau, un peu trop baba cool et Sophie, une femme touchante malgré son côté hyper rationnel. A leurs côtés, on a des brefs interludes de "fantaisie" sous la personne de Jacques Lenoir, ce méchant si méchant qu'il paraît une caricature. Face à notre monde et à sa violence, à ces drames, on aimerait bien aussi que les choses soient aussi simples qu'Alice les voit. Convertissons les méchants pour qu'ils deviennent des "gentils" !
Les plus :
A la lecture, les personnages prennent vie. On les accompagne, on réagit avec eux.
J'ai apprécié l'innocence bien transcrite dans les mots d'Alice. Les aspects caricaturaux de la méchanceté de Jacques Lenoir (j'aurais aimé en voir plus). Je suis peut être la seule, mais je me suis identifiée à Sophie, je pense que les vrais soucis de femme / maman ont bien été retranscrits.
Les moins :
La fin est un peu trop expéditive et le raisonnement n'est pas poussé plus loin. Et j'aurais aimé voir plus Jacques Lenoir !
La forme est maîtrisée. Agréable à lire. Personnages touchants. Une réussite pour un premier roman !
