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Critique de Gaphanie
Tout commence par une fête : une fête grandiose, magnifique, où presque toute la Comté est invitée. Celle du cent-onzième anniversaire de Bilbon.
Outre la fête elle-même, le vieux Bilbon a aussi réservé une surprise de taille à ses invités. Il a prévu de se retirer chez ses amis les Elfes à Fondcombe, mais pour bien marquer les esprits, il n'en a rien dit à personne. Il a prévu de disparaître au beau milieu de la fête, grâce à son anneau magique, et de s'en aller dans la foulée.
Sans son anneau, cependant. Gandalf, le magicien, l' a convaincu de le laisser à son neveu Frodon, qui est son seul héritier. En effet, Gandalf nourrit quelques inquiétudes au sujet de cet objet, et a besoin de temps pour effectuer des recherches complémentaires.
Et tout se passe comme prévu. Bilbon crée la stupeur et l'émoi en disparaissant, et parvient, avec l'aide de Gandalf, à laisser derrière lui son mystérieux anneau. Et Frodon se retrouve seul au Terrier, attendant le retour et les instructions de Gandalf au sujet de l'anneau.
Dans le livre, il s'écoule quelques années avant le retour de Gandalf, qui a découvert une manière infaillible de savoir si cet anneau est bien celui qu'il soupçonne : le jeter au feu, et s'il reste froid, et que des inscriptions en langage du Mordor apparaissent, c'est qu'il s'agit bien du Maître-anneau de Sauron. Et de fait, c'est bien de celui-ci qu'il s'agit.
Le plan initial est alors que Frodon l'emmène à Fondcombe, pour avoir l'avis du sage Seigneur Elfe Elrond. Et pour ne pas éveiller les soupçons, Frodon va simuler un déménagement, et quelques mois vont s'écouler avant qu'il ne prenne la route, accompagné par le fidèle Sam, son jardinier, et ses amis, Merry et Pippin, tandis que Fred Bolger est parti en avant avec les meubles qu'il souhaite emporter. Rendez-vous est pris également avec Gandalf à l'auberge du Poney fringant, à Bree.
A partir de là, rien ne va se passer comme prévu. A peine Frodon et ses amis sont-ils partis que de mystérieux cavaliers noirs apparaissent et se mettent à les rechercher. Ils échapperont une première fois à leurs poursuivants en se réfugiant dans la forêt de Tom Bombadil, puis, à Bree, ils ne trouveront pas Gandalf comme prévu, mais un rôdeur, surnommé Grandpas, qui les aidera à esquiver une seconde attaque et se proposera de les escorter à Fondcombe.
Et si le trajet n'est pas une partie de plaisir, les nouvelles qui les attendent chez le Seigneur Elrond sont pires. Réunis en conseil pour décider quoi faire de cet anneau maudit, décision est prise de le détruire en le jetant là où il a été forgé, dans la montagne du Destin. En Mordor. Gloups. Et qui va se charger de l'y amener ?
Frodon va se porter volontaire, et avec lui ses amis, Sam, Merry et Pippin, qui écoutent aux portes, Gandalf, Grandpas, Boromir, fils de l'Intendant du Gondor, Legolas, représentant les Elfes, et Gimli, représentant les nains, ces deux derniers se vouant de prime abord une animosité féroce.
La Compagnie de l'Anneau va donc se mettre en route vers le Mordor. Mais des dissenssions existent : Boromir aurait voulu emporter l'anneau au Gondor pour combattre Sauron. Et en traversant les Mines de la Moria, la Compagnie n'en ressortira pas au complet. Alors quand les Orques attaquent, c'est la déroute et la débandade. Et ce premier tome s'achève sur une dislocation totale de la petite troupe, dans la fureur et dans les larmes.
J'ai trouvé le film de Jackson globalement assez fidèle. Bien sûr, il a dû couper certains passages, notamment ceux de la rencontre avec Bombadil, Baie d'Or et les Etres des Galgals, mais il a suivi d'assez près l'intrigeu à mon goût. Ce que j'ai eu plus de mal à avaler, c'est que dans les films, Merry et Pippin passent pour deux abrutis finis. La scène où les Cavaliers les assiègent, et blessent Frodon à l'épaule, est due dans le film à l'insouciance des Hobbits qui allument un feu pour se faire à manger alors que Grandpas l'a interdit. Or, dans le livre, ils se réfugient sur l'éminence pour voir arriver leurs assaillants, et c'est Grandpas qui leur ordonne d'allumer un feu pour les tenir le plus possible à distance et tenir le siège jusqu'au lever du jour. de même, leur départ n'est dans le livre pas le résultat d'un coup de tête, mais un coup de main pour le déménagement de Frodon. Evidemment, quand ils comprennent qu'il ne s'agit pas tout à fait de déménager mais d'aller plus loin encore, ils le suivent de bon coeur.
Bref, le Seigneur des Anneaux, pour ma part, je ne m'en lasse pas. Il fait partie des livres que je relis tous les ans, comme les Harry Potter et quelques autres. Pour moi, c'est juste la plus grande histoire de tous les temps.
Outre la fête elle-même, le vieux Bilbon a aussi réservé une surprise de taille à ses invités. Il a prévu de se retirer chez ses amis les Elfes à Fondcombe, mais pour bien marquer les esprits, il n'en a rien dit à personne. Il a prévu de disparaître au beau milieu de la fête, grâce à son anneau magique, et de s'en aller dans la foulée.
Sans son anneau, cependant. Gandalf, le magicien, l' a convaincu de le laisser à son neveu Frodon, qui est son seul héritier. En effet, Gandalf nourrit quelques inquiétudes au sujet de cet objet, et a besoin de temps pour effectuer des recherches complémentaires.
Et tout se passe comme prévu. Bilbon crée la stupeur et l'émoi en disparaissant, et parvient, avec l'aide de Gandalf, à laisser derrière lui son mystérieux anneau. Et Frodon se retrouve seul au Terrier, attendant le retour et les instructions de Gandalf au sujet de l'anneau.
Dans le livre, il s'écoule quelques années avant le retour de Gandalf, qui a découvert une manière infaillible de savoir si cet anneau est bien celui qu'il soupçonne : le jeter au feu, et s'il reste froid, et que des inscriptions en langage du Mordor apparaissent, c'est qu'il s'agit bien du Maître-anneau de Sauron. Et de fait, c'est bien de celui-ci qu'il s'agit.
Le plan initial est alors que Frodon l'emmène à Fondcombe, pour avoir l'avis du sage Seigneur Elfe Elrond. Et pour ne pas éveiller les soupçons, Frodon va simuler un déménagement, et quelques mois vont s'écouler avant qu'il ne prenne la route, accompagné par le fidèle Sam, son jardinier, et ses amis, Merry et Pippin, tandis que Fred Bolger est parti en avant avec les meubles qu'il souhaite emporter. Rendez-vous est pris également avec Gandalf à l'auberge du Poney fringant, à Bree.
A partir de là, rien ne va se passer comme prévu. A peine Frodon et ses amis sont-ils partis que de mystérieux cavaliers noirs apparaissent et se mettent à les rechercher. Ils échapperont une première fois à leurs poursuivants en se réfugiant dans la forêt de Tom Bombadil, puis, à Bree, ils ne trouveront pas Gandalf comme prévu, mais un rôdeur, surnommé Grandpas, qui les aidera à esquiver une seconde attaque et se proposera de les escorter à Fondcombe.
Et si le trajet n'est pas une partie de plaisir, les nouvelles qui les attendent chez le Seigneur Elrond sont pires. Réunis en conseil pour décider quoi faire de cet anneau maudit, décision est prise de le détruire en le jetant là où il a été forgé, dans la montagne du Destin. En Mordor. Gloups. Et qui va se charger de l'y amener ?
Frodon va se porter volontaire, et avec lui ses amis, Sam, Merry et Pippin, qui écoutent aux portes, Gandalf, Grandpas, Boromir, fils de l'Intendant du Gondor, Legolas, représentant les Elfes, et Gimli, représentant les nains, ces deux derniers se vouant de prime abord une animosité féroce.
La Compagnie de l'Anneau va donc se mettre en route vers le Mordor. Mais des dissenssions existent : Boromir aurait voulu emporter l'anneau au Gondor pour combattre Sauron. Et en traversant les Mines de la Moria, la Compagnie n'en ressortira pas au complet. Alors quand les Orques attaquent, c'est la déroute et la débandade. Et ce premier tome s'achève sur une dislocation totale de la petite troupe, dans la fureur et dans les larmes.
J'ai trouvé le film de Jackson globalement assez fidèle. Bien sûr, il a dû couper certains passages, notamment ceux de la rencontre avec Bombadil, Baie d'Or et les Etres des Galgals, mais il a suivi d'assez près l'intrigeu à mon goût. Ce que j'ai eu plus de mal à avaler, c'est que dans les films, Merry et Pippin passent pour deux abrutis finis. La scène où les Cavaliers les assiègent, et blessent Frodon à l'épaule, est due dans le film à l'insouciance des Hobbits qui allument un feu pour se faire à manger alors que Grandpas l'a interdit. Or, dans le livre, ils se réfugient sur l'éminence pour voir arriver leurs assaillants, et c'est Grandpas qui leur ordonne d'allumer un feu pour les tenir le plus possible à distance et tenir le siège jusqu'au lever du jour. de même, leur départ n'est dans le livre pas le résultat d'un coup de tête, mais un coup de main pour le déménagement de Frodon. Evidemment, quand ils comprennent qu'il ne s'agit pas tout à fait de déménager mais d'aller plus loin encore, ils le suivent de bon coeur.
Bref, le Seigneur des Anneaux, pour ma part, je ne m'en lasse pas. Il fait partie des livres que je relis tous les ans, comme les Harry Potter et quelques autres. Pour moi, c'est juste la plus grande histoire de tous les temps.
