Noir de Lune

Roman pris a la bibliothèque, avec une quatrième de couverture plutôt tentante.

Je ne peux pas dire que je n'ai pas apprécié ma lecture, mais j'ai trouvé bien des longueurs inutiles.

L'écriture de.l'auteure est agréable.
Le scénario intéressant dans son ensemble. Disons que le secret qui entoure Lune est quand même intriguant.
Quand aux autres personnages, ils sont sympathiques sans être pour autant passionnants.

Après, j'avoue que je pensais que ce roman était en un seul tome .. donc désillusion aussi de voir que ce n'était pas le cas.

Par contre l'univers est bien maîtrisé et assez intéressant. Un côté assez féministe ressort du roman ainsi qu'une société violente menée par des hommes cruels.

Au final un moment sympa de lecture sans rien de transcendant, mais j'avoue être intriguée par le personnage de Lune.
Je poursuivrai donc cette lecture a l'occasion.

Bizarrement cette lecture fut à demi teinte. Pourquoi ? Parce que j'avais énormément de mal à me remettre à ma lecture quand je l'interrompais mais quand j'étais dedans ça me plaisait beaucoup.
J'étais tout de même contente d'avoir fini ce premier tome où ce qui a été le plus compliqué fut certain nom de personnage et de ville négatif vraiment pas simple à lire.
Dans l'ensemble, l'histoire est intéressante, captivante, mouvementée. le périple des protagonistes pour mettre l'O'haï a l'abri n'est vraiment pas de tout repos.
Un point m'a par contre mis assez mal à l'aise : la particularité des antharites pour que leur lignée perdure. Totalement incestueux soyons claires.
Heureusement on n'en parle pas pendant trois plombs et c'est tant mieux.
L'univers est vraiment bien imprégné et narré par l'autrice. On peut sans problème s'imaginer traverser toutes les contrées et en détailler les paysages alentour.
Concernant les personnages, j'ai facilement identifié Viperyne à Merida, dans le Disney Rebelle. Un tempérament de feu. Lune est totalement mystique et Zar très intrigant.

Sympa mais un peu plat.
Quand j'ai lu le résumé de ce livre, il m'a tapé dans l'oeil, c'est donc tout naturellement que j'en ai fait l'acquisition.
Ce que j'ai apprécié c'est le monde crée par l'auteur, qui est très complet et intriguant. Que ce soit l'histoire de ce monde ou ses décors l'immersion est parfaite.
Le contexte aussi est très bon, bien apporté et donne vraiment envie d'en savoir plus.
De mon côté c'est les personnages qui n'ont pas réussi à m'accrocher. A part les personnages principaux, quasiment tous les personnages secondaire ont des noms imprononçable, j'ai du revenir en arrière plusieurs fois pour retrouver qui était qui.
J'ai trouvé les personnages principaux sympathique mais sans plus.
Je dois avouer que je me suis un peu perdue dans le style d'écriture qui oscille entre le comique et la noirceur.
L'histoire reste toutefois sympathique et la trame est assez intriguante pour donner envie de connaître la suite.
Ça ne fera pas parti de mes prochaines lectures immédiates mais j'ai quand même bien envie de laisser une chance au volume 2 de cette série pour me faire un avis plus tranché.

Le genre YA (young adult) n'est-il que pour les « jeunes adultes » ?

Avant de lire Noir de lune, et de me replonger dans une littérature pour laquelle je ne suis plus la cible depuis de nombreuses années, j'aurais eu tendance à répondre oui.

Oui, le young adult correspond à une cible et cible une génération : celle des adolescents qui ne sont plus des enfants, à qui l'on parle comme à des adultes en devenir. Qui ont une voix, des préoccupations propres, et dont les engagements doivent être exaltés et sollicités d'une manière spécifique. S'ils sont jeunes adultes, ils sont aussi jeunes qu'adultes et peuvent donc avoir un mode d'expression et des envies d'identification qui diffèrent, par exemple, de la trentenaire que je suis.

Ma lecture de Noir de Lune ne m'a pas entièrement fait changer d'avis : la description de certains traits de caractère des personnages, de leur manière d'être à leur façon de se comporter, ne m'a pas toujours touchée ; sans doute est-ce la construction de personnages classiques, et donc nécessairement stéréotypés, qui a pu parfois un peu me distraire.


Quel avenir pour la jeunesse ? [ Suite de la chronique sur Starting Books]

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