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Critique de Tandarica
72 textes de longueurs variées pour 220 pages.
Des récits minimalistes, parfois absurdes, des tranches de vie si roumaines, si humaines, si universelles au bout du compte. Regarder un match de foot, prendre une bière et (re)faire L Histoire, les courses, des lettres d 'amour, Dieu qui est partout au point qu'on en vient à se demander "mais où est-il donc passé, celui-là ?", la consommation et ses repères, bref la vie et sa mortelle et risible situation. du vieux, me direz-vous. Mais pas du tout, puisque ces tranches-là sont fines. du vrai carpaccio ! de l'arithmétique et des algorithmes gagnants pour moi qui suis tombé(e) littérairement sous le charme de cet auteur publié désormais par un éditeur qui a osé s'appeler la "maison des paris littéraires"(Casa des pariuri liretare). Si vous n'êtes toujours pas convaincus des raisons pour lesquelles je suis dithyrambique, il y a aussi une postface (placée finalement comme un avertissement introductif) dans laquelle Razvan Radulescu nous incite avec habileté et humour à ne pas prendre la réalité pour des rêves, où plutôt l'inverse. Vivement qu'on le traduise.
Des récits minimalistes, parfois absurdes, des tranches de vie si roumaines, si humaines, si universelles au bout du compte. Regarder un match de foot, prendre une bière et (re)faire L Histoire, les courses, des lettres d 'amour, Dieu qui est partout au point qu'on en vient à se demander "mais où est-il donc passé, celui-là ?", la consommation et ses repères, bref la vie et sa mortelle et risible situation. du vieux, me direz-vous. Mais pas du tout, puisque ces tranches-là sont fines. du vrai carpaccio ! de l'arithmétique et des algorithmes gagnants pour moi qui suis tombé(e) littérairement sous le charme de cet auteur publié désormais par un éditeur qui a osé s'appeler la "maison des paris littéraires"(Casa des pariuri liretare). Si vous n'êtes toujours pas convaincus des raisons pour lesquelles je suis dithyrambique, il y a aussi une postface (placée finalement comme un avertissement introductif) dans laquelle Razvan Radulescu nous incite avec habileté et humour à ne pas prendre la réalité pour des rêves, où plutôt l'inverse. Vivement qu'on le traduise.
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