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Critique de LoupAlunettes
Le premier point fort: les dessins et le traitement des couleurs.
Un travail au résultat frais et lumineux.
Le trait, du plus fin au plus épais, qui souligne les éléments suivant une harmonie des plans. On aime.
Les illustrations séduisent aussi en multipliant les vues, plongées et contre-plongées, zoom et belle vue générale, l'auteur-illustrateur est un "drône" muni d'un crayon qui nous balade dans l'univers qu'il a imaginé, lui apportant ainsi ses trois dimensions en volume.
Le premier sujet de l'auteur: une maison.
Dès le début, tout tournera autour de cette maison perdue au creux d'une forêt dont nous ne percevrons pas encore les contours.
Cela ressemble presque à un conte, un cauchemar d'enfant et notre jeune héroïne nous le confie, elle évite de sortir de sa maison.
La seule " menace" que nous cernons du début, ce sont des avions de papier, qui sont envoyés et servent à l'appater vers l'extérieur.
À priori, la mère sort et part travailler régulièrement. Alors?
Cette hostilité suggérée par l'héroïne est-elle le mal de son imagination?
Une sorte d'agoraphobie?
Et qui souhaite faire sa connaissance?
Le Fantastique va rapidement s'imposer, entrer dans la maison et la tirer vers le dehors.
Oui, l'auteur nous fera douter, avec sa réplique d'un monde ordinaire agrémenté de bizarreries accrochées en guilandes tout le long de l'aventure extérieure.
La fuite de " Blue" pour échapper à une atmosphère toxiquement magique pour elle est surréaliste, à la fois attrayante et frissonnante.
La quête de Blue pour se souvenir, où elle est et ce qui la suit, ne manque pas pour autant d'humour.
La fantaisie qui l'anime est digne d'un film animé de chez Pixar et devrait plaire aux jeunes lecteurs.
Blue ne sera pas seule, heureusement, mais pas sûr que jovial MJ soit d'une grande aide pour avancer dans sa quête.
Peu importe, le personnage est sympathique, attachant, rassurant.
"Blue" est un nouveau rendez-vous BD très énigmatique et onirique à découvrir.
Un travail au résultat frais et lumineux.
Le trait, du plus fin au plus épais, qui souligne les éléments suivant une harmonie des plans. On aime.
Les illustrations séduisent aussi en multipliant les vues, plongées et contre-plongées, zoom et belle vue générale, l'auteur-illustrateur est un "drône" muni d'un crayon qui nous balade dans l'univers qu'il a imaginé, lui apportant ainsi ses trois dimensions en volume.
Le premier sujet de l'auteur: une maison.
Dès le début, tout tournera autour de cette maison perdue au creux d'une forêt dont nous ne percevrons pas encore les contours.
Cela ressemble presque à un conte, un cauchemar d'enfant et notre jeune héroïne nous le confie, elle évite de sortir de sa maison.
La seule " menace" que nous cernons du début, ce sont des avions de papier, qui sont envoyés et servent à l'appater vers l'extérieur.
À priori, la mère sort et part travailler régulièrement. Alors?
Cette hostilité suggérée par l'héroïne est-elle le mal de son imagination?
Une sorte d'agoraphobie?
Et qui souhaite faire sa connaissance?
Le Fantastique va rapidement s'imposer, entrer dans la maison et la tirer vers le dehors.
Oui, l'auteur nous fera douter, avec sa réplique d'un monde ordinaire agrémenté de bizarreries accrochées en guilandes tout le long de l'aventure extérieure.
La fuite de " Blue" pour échapper à une atmosphère toxiquement magique pour elle est surréaliste, à la fois attrayante et frissonnante.
La quête de Blue pour se souvenir, où elle est et ce qui la suit, ne manque pas pour autant d'humour.
La fantaisie qui l'anime est digne d'un film animé de chez Pixar et devrait plaire aux jeunes lecteurs.
Blue ne sera pas seule, heureusement, mais pas sûr que jovial MJ soit d'une grande aide pour avancer dans sa quête.
Peu importe, le personnage est sympathique, attachant, rassurant.
"Blue" est un nouveau rendez-vous BD très énigmatique et onirique à découvrir.
