"Pas mal ce navire, dit Arnaud ; tout est en ordre, mais la cambuse est vide. À vous de jouer pour les vivres, Second !
- Pardon, dit Pierre, si nous ne sommes que deux, il n'y a pas de place pour un capitaine et un second, car alors il n'y a plus d'équipage. Par contre, si je suis l'équipage, vous devez me nourrir. À vous de jouer, Commandant..." (p.99)
Il était tout entier au spectacle immense de la mer, ce spectacle toujours semblable et toujours nouveau. Quel cinéma ou théâtre du monde pourrait jamais en mettre un pareil à son programme ? Et s'il devait y parvenir, il ferait faillite... car la mer ne se livre qu'en secret. (p.16)