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Critique de Vexiana
J'avais beaucoup aimé le doute du même auteur et quand j'ai lu le résumé de ce nouveau roman, j'ai su que je ne résisterai pas longtemps avant de me jeter dessus.
Dans les premières pages, je me suis dit : tiens, on dirait Rebecca de Daphné du Maurier. Un châtelain séduisant, une jeune femme modeste et surtout une maison magnifique, isolée qui devient, petit à petit, un personnage à part entière.
Puis, ça a doucement dérapé vers quelque chose qui m'a ennuyée pour finir dans un long soupir…tout ça pour ça.
Commençons par ce qui m'a plu. Force est de constater que S.K Tremayne sait raconter les paysages. Après l'île de Skye dans "Le doute", il nous brosse ici un décor des Cornouailles à faire pâlir d'envie les guides touristiques. J'ai également apprécié les passages plus historiques relatant les conditions de travail, de vie et souvent de mort des mineurs et de leurs familles. On sent que le sujet a vraiment intéressé l'auteur qui s'est beaucoup documenté et qui rend le tout avec beaucoup de sensibilité et de justesse.
Pour le reste, je suis assez déçue.
Déjà, les personnages ne sont pas attachants, aucun d'entre eux. Leurs personnalités sont à la fois changeantes et inintéressantes. Certains sont tellement ambigus qu'ils sont difficiles à suivre. Bon, il faut dire qu'ils sont tous un peu dérangés : psychoses, choc post-traumatiques, Alzheimer, délire de persécution, névroses, mensonges, hallucinations…il y en a pour tous les goûts.
A partir du premier tiers du roman, les passages deviennent terriblement répétitifs et ça m'a vraiment lassée. On oscille entre les genres durant tout le roman et, même si il faut reconnaître que l'auteur maîtrise très bien le suspens et tiens le lecteur en haleine, le résultat n'est pas vraiment concluant. En tout cas, pour moi.
Je ne m'étendrai pas sur la fin que je trouve tirée par les cheveux…
Bon, tout ça m'a quand même donné envie d'aller en Cornouailles !
Dans les premières pages, je me suis dit : tiens, on dirait Rebecca de Daphné du Maurier. Un châtelain séduisant, une jeune femme modeste et surtout une maison magnifique, isolée qui devient, petit à petit, un personnage à part entière.
Puis, ça a doucement dérapé vers quelque chose qui m'a ennuyée pour finir dans un long soupir…tout ça pour ça.
Commençons par ce qui m'a plu. Force est de constater que S.K Tremayne sait raconter les paysages. Après l'île de Skye dans "Le doute", il nous brosse ici un décor des Cornouailles à faire pâlir d'envie les guides touristiques. J'ai également apprécié les passages plus historiques relatant les conditions de travail, de vie et souvent de mort des mineurs et de leurs familles. On sent que le sujet a vraiment intéressé l'auteur qui s'est beaucoup documenté et qui rend le tout avec beaucoup de sensibilité et de justesse.
Pour le reste, je suis assez déçue.
Déjà, les personnages ne sont pas attachants, aucun d'entre eux. Leurs personnalités sont à la fois changeantes et inintéressantes. Certains sont tellement ambigus qu'ils sont difficiles à suivre. Bon, il faut dire qu'ils sont tous un peu dérangés : psychoses, choc post-traumatiques, Alzheimer, délire de persécution, névroses, mensonges, hallucinations…il y en a pour tous les goûts.
A partir du premier tiers du roman, les passages deviennent terriblement répétitifs et ça m'a vraiment lassée. On oscille entre les genres durant tout le roman et, même si il faut reconnaître que l'auteur maîtrise très bien le suspens et tiens le lecteur en haleine, le résultat n'est pas vraiment concluant. En tout cas, pour moi.
Je ne m'étendrai pas sur la fin que je trouve tirée par les cheveux…
Bon, tout ça m'a quand même donné envie d'aller en Cornouailles !
