De même que les êtres humains, les livres incarnent, pour ainsi dire, l'identité d'une culture et d'une histoire. C'est grâce à eux que la connaissance peut-être transmise. Les détruire, c'est sombrer dans l'ignorance.
Nos lois ne raisonnent pas en termes de punition, du moins pas en tant que telle. Elles reposent sur la compensation envers la victime et la réhabilitation de l’auteur du crime.
Il n'y a pas de magie, dans la vie, rien que des phénomènes que nous ne comprenons pas et que nous interprétons, à tort, comme telle.
Ce n'est pas parce que quelqu'un vient du même pays que l'on se sent des affinités avec lui.
Une porte ne devrait être fermée que dans le seul souci de conserver la chaleur, dit la voix. Sinon elle n'est qu'un obstacle ennuyeux aux échanges entre les humains. Elle entrave la connaissance et le progrès.
Je crois simplement que ceux qui brûlent les livres sont tout aussi coupables que les princes qui président aux massacres de peuples entiers.
L'homme, dés qu'il jouit d'un peu de pouvoir, est un être obstiné.
Rien n'est plus puissant que l'étreinte d'une femme pour entraîner l'esprit de l'homme vers le bas.
Est sage celui qui sait quand une nécessité s'exerce pour le bien ou pour le mal.
Permettez-moi de vous le dire, le savoir parfait n'existe pas.