Abandonner son fils, c'était se condamner à vivre le reste de ses jours avec une inquiétude incroyable au fond du cœur, avec des regrets que rien ni personne ne pourrait effacer.
(...) la vie serait bien moins difficile maintenant qu'elle avait une télévision. Fini les longues soirées solitaires.
La patience d'Évangeline n'avait jamais pu revendiquer le terme de "vertu".