Citations sur Une simple histoire d'amour, tome 2 : La déroute (11)
Une vie bien simple, je l’admets, mais combien riche en amour. Une vie comme on souhaiterait tous en avoir une. Une vie truffée d’espoir, comme chacun d’entre nous serait en droit de l’exiger.
Elle était encore jeune et en santé, certes, mais serait-ce suffisant pour passer l'année? Serait-ce assez pour que, sans relâche, elle arrive à donner le meilleur d'elle-même à ses enfants, à son mari, à tous ceux qu'elle aimait profondément?
Faut dire que Napoléon a des sous. Après toute, il a travaillé comme maçon pendant proche cinquante ans. C’est pas des farces, il y a ben la moitié de Viauville qui a poussé au boutte de sa truelle pis grâce à son mortier. C’est plein de maisons en pierres pis en briques, dans le coin, pis c’est toute Napoléon qui les a bâties, je crois ben!
Il a beau toujours chercher des poux là où il y en a pas, Irénée Lafrance est pas un cave. Lui avec, il va comprendre assez vite que ça pourrait pas aller mieux…
Pas de fafinages, avec monsieur Irénée, ni de demi-vérités, avait ajouté son voisin. Ou c’est blanc ou c’est noir. Avec lui, c’est jamais gris. Mais ça a au moins l’avantage d’être clair.
Après toute, faut en profiter: c’est un peu comme une fête, cette affaire-là, pis les fêtes, ça arrive pas tous les jours, tout le monde sait ça!
À treize ans, c’est un peu jeune pour savoir vraiment ce qu’on veut faire dans la vie. Surtout pour un choix aussi sérieux que le sacerdoce.
Faut savoir faire les bons choix dans la vie, pis continuer d’étudier, c’en est un! Jamais je croirai, Cyrille, qu’on va t’obliger à rentrer au Grand Séminaire si jamais t’avais pas la vocation, ajouta alors Jaquelin avec conviction.
Quand les parents se regardent de même, ça veut dire que quelque chose de grave est en train de se passer, ou ben que c’est à la veille de nous tomber dessus.
À trop en dire, parfois, on dilue l’intention.
J’ai donc choisi en toute liberté de tourner la page!