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Critique de tifrey
Si c'est un livre qui se prend au sérieux, c'est une purge. Si c'est un livre qui est une critique satirique du genre du livre d'espionnage, bien ouej.
Pour tout dire ; j'ai bien aimé les personnages, sauf le protagoniste. Un mélange de Chuck Norris, Captain America, Rocco Siefredi, Itachi et Jesus. Avec des Jutsu de niveau 4 d'orgasme par la pensée. Et la capacité à parler le basque. Qui parle le basque, outre un basque ?
L'histoire est beaucoup trop longue à se mettre en place, le héros élevé par des prostituées japonaises, descendant d'un allemand et d'une russe, pupille d'un général japonais, champion de go à 10 ans, maître de pseudo-mysticisme oriental, parangon de la pensée japonaise, hyper-polyglotte (et on apprendra vers la fin que ce n'est pas que pour l'apprentissage des langues), adepte de la fameuse école d'arts martiaux de Tuer avec un trombone, spéléologue averti et grand défendeur de la cause basque. Rien que ça. Puis, parfois, quand il s'ennuie, il va tuer des gens pour la gloire, la beauté, l'ordre moral et un petit million de dollars.
Vraiment, si c'est une oeuvre satirique, elle est incroyable, jusque dans l'ennui éprouvé dans le déballage de son passé, le côté ultra libidineux lorsqu'on le découvre enfin dans l'époque actuelle. La moitié de l'histoire est le passé du personnage, un quart est sa passion pour l'exploration de grottes et le reste se passe entre des descriptions de repas, de ses prouesses sexuelles et d'insultes envers les américains (ou les français, dépend des pages).
Pour tout dire ; j'ai bien aimé les personnages, sauf le protagoniste. Un mélange de Chuck Norris, Captain America, Rocco Siefredi, Itachi et Jesus. Avec des Jutsu de niveau 4 d'orgasme par la pensée. Et la capacité à parler le basque. Qui parle le basque, outre un basque ?
L'histoire est beaucoup trop longue à se mettre en place, le héros élevé par des prostituées japonaises, descendant d'un allemand et d'une russe, pupille d'un général japonais, champion de go à 10 ans, maître de pseudo-mysticisme oriental, parangon de la pensée japonaise, hyper-polyglotte (et on apprendra vers la fin que ce n'est pas que pour l'apprentissage des langues), adepte de la fameuse école d'arts martiaux de Tuer avec un trombone, spéléologue averti et grand défendeur de la cause basque. Rien que ça. Puis, parfois, quand il s'ennuie, il va tuer des gens pour la gloire, la beauté, l'ordre moral et un petit million de dollars.
Vraiment, si c'est une oeuvre satirique, elle est incroyable, jusque dans l'ennui éprouvé dans le déballage de son passé, le côté ultra libidineux lorsqu'on le découvre enfin dans l'époque actuelle. La moitié de l'histoire est le passé du personnage, un quart est sa passion pour l'exploration de grottes et le reste se passe entre des descriptions de repas, de ses prouesses sexuelles et d'insultes envers les américains (ou les français, dépend des pages).
