Bien bien sympa ce roman américain contemporain qui brosse le portrait de Zach au prise avec ses problèmes de santé, de coeur, de famille...On est à New York et le livre m'a évoqué tantôt
Woody Allen (pour l'hypocondrie), tantôt
Jay McInerney, pour le côté branchouille du livre dans lequel les femmes font toutes 1m80 et sont toutes top modèles ou presque…
Et puis le livre, un peu superficiel en apparence, aborde son vrai thème, m'a-t-il semblé, bien plus profond, sur un sujet plus "psy". Peut-on réparer le mal que l'on a fait quand on a été un mauvais père ? Peut-on guérir des blessures de l'enfance ? le personnage du père Norman est tout à fait passionnant. Après il y a dans le livre des passages brillants, émouvants ou très drôles, et quelques facilités que l'on peut pardonner au vu du plaisir pris à lire ce livre plaisant qui donne envie d'aller picorer davantage dans les oeuvres de cet auteur. Une proposition ?
Commenter  J’apprécie         190