J'aime beaucoup lire
Jonathan Tropper. Surtout quand il est correctement traduit comme c'est présentement le cas avec
Christine Barbaste. Car, les caractères, les émotions, l'humour, sont parfaitement retranscrits en respectant le style de l'auteur et, par conséquent, m'embarquent pleinement dans l'histoire.
"J'y étais" donc bel et bien. Et j'avoue que - moi que les chouineurs patentés ont le don d'agacer - j'avais furieusement envie de hurler à Silver : "Tu comptes te bouger les fesses à un moment ou va t-il falloir supporter ton charisme d'endive jusqu'à la toute fin ?!!!"
Pour ce qui concerne Casey, sa fille, autant j'ai trouvé sa première intervention relativement odieuse, autant j'ai été touchée quand, suivant l'évolution de son personnage, j'ai compris le pourquoi des choses et qui elle était vraiment une fois la carapace tombée. Sacrée petite bonne-femme que cette jeune fille !
Quant aux autres personnages, pourtant très différents les uns des autres, ils sont également si justement dépeints que j'avais l'impression de les connaître et d'être un membre de la tribu.
Bref, un bon moment comme je les aime.
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