Il ne lui restait qu'à se suicider, convaincu désormais que son règne et sa quête n'accederaient jamais à la postérité qu'il avait tant recherchée.
La farce succède à la tyrannie.
Kaamelott prend alors une dimension apocalyptique : fin de règne et même fin du monde.
Astier a conservé son caractère naïf, mais si son Perceval se montre particulièrement ignorant, c'est aussi une figure idéale d'élève en soif d'apprendre, participant ainsi à l'ambition pédagogique de la série. (133)