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Critique de Hosenford
Des enquêtes au poil : entre diversion et révélations
L'auteur de Danganronpa mêle bonne et fausse piste au désespoir tout qu'à l'intérêt du lecteur. En vérité, deux discours se dégagent. D'abord, celui du mangaka qui au fil de l'intrigue nous fournit des éléments bien trop évidents pour l'enquête avant de nous mettre un stop qui, au gré des révélations, joue avec les retournements de situation. Ensuite, celui de Monokuma qui dans son jeu de piste morbide brise comme à son habitude le quatrième mur et lorsque ce n'est pas pour lancer des vannes, ce l'est pour nous donner des indices. L'enquête finalement réussit à susciter la curiosité du lecteur afin qu'il enquête soi-même tout en le préservant des révélations chocs qui en sont le parachèvement jouissif. L'histoire est écrite de manière à ce que le lecteur ait à chaque fois un récit clair des choses, et à la fin du procès, plus aucun doute ne subsiste.
Ce proviseur est-il humain ?
Qui est Monokuma ? Des questions se sont posées au premier tome de Danganronpa et si le doute persiste, de nouvelles informations nous questionnent et viennent alimenter un intérêt bien plus profond que cette chouette et glauque murder party. Il paraît que parmi les rangs, il y aurait un traître ! Me voilà bien happé par la curiosité alors que traîne un procès pour double meurtre.
Lien : https://leschroniquesdejerem..
L'auteur de Danganronpa mêle bonne et fausse piste au désespoir tout qu'à l'intérêt du lecteur. En vérité, deux discours se dégagent. D'abord, celui du mangaka qui au fil de l'intrigue nous fournit des éléments bien trop évidents pour l'enquête avant de nous mettre un stop qui, au gré des révélations, joue avec les retournements de situation. Ensuite, celui de Monokuma qui dans son jeu de piste morbide brise comme à son habitude le quatrième mur et lorsque ce n'est pas pour lancer des vannes, ce l'est pour nous donner des indices. L'enquête finalement réussit à susciter la curiosité du lecteur afin qu'il enquête soi-même tout en le préservant des révélations chocs qui en sont le parachèvement jouissif. L'histoire est écrite de manière à ce que le lecteur ait à chaque fois un récit clair des choses, et à la fin du procès, plus aucun doute ne subsiste.
Ce proviseur est-il humain ?
Qui est Monokuma ? Des questions se sont posées au premier tome de Danganronpa et si le doute persiste, de nouvelles informations nous questionnent et viennent alimenter un intérêt bien plus profond que cette chouette et glauque murder party. Il paraît que parmi les rangs, il y aurait un traître ! Me voilà bien happé par la curiosité alors que traîne un procès pour double meurtre.
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