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Critique de JonathanLecuyer
Un héros au tempérament volcanique, basé sur une enfance des plus noires, qui ne recule devant rien au risque de se mettre dans la panade. Une seule page de lumière dans cette vie faite de violence d'alcool et de mauvais choix, Kalya, cette petite Tsigane qui sera son havre de paix.
Ce n'est pas le genre de roman qui vous mettra le sourire aux lèvres en le lisant, notre héros nommé tour à tour Hugo/Amos/Sans-Nom et même Pierre, à une trajectoire de vie que l'on ne souhaite à personne. Enfant d'une mère, qui pour joindre les deux bouts dans la fin de Seconde Guerre mondiale, s'adonne à la prostitution, il est en est le fruit.
Rien n'est facile pour Hugo, sa mère prendra soin de lui, mais son enfance sera émaillée d'événements traumatiques pour un gamin de son âge, ce qui jouera vraisemblablement sur son caractère et sa façon de voir et de traiter les choses. Enfant taciturne, il ne se lie à personne son seul exutoire est le plaisir de la lecture.
Il ne se liera avec personne avant de rencontrer Kalya, une petite Tsigane qui vit non loin de chez lui, chez son père, un ferrailleur. Cette enfant aussi à une trajectoire de vie difficile que l'on découvrira au fil du roman ; qui se ressemble s'assemble comme le dit l'adage, c'est ce que feront Hugo et Kalya, qui deviendront les meilleurs amis du monde. Toujours prompts aux plans les plus foireux, ils séviront sur le terrain vague non loin de leur lieu de vie respectif, ce paradis des vauriens.
Le roman est écrit sur deux trames temporelles, une traitant de l'enfance et l'autre la partie adulte, post-adolescence, de Hugo. La première trame, celle de ses jeunes années rattraperas au fil des chapitres le début de la trame adulte.
Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler, car ça ce lit comme un conte, noir, ou le mauvais côté des hommes en général est mis en avant, comme si nos deux compères n'avaient pas le droit au bonheur sur le long terme, leurs vies cabossées.
C'est une lecture qui prend aux tripes, j'avais de l'antipathie pour notre protagoniste au début du roman et au fil des pages, on apprend à l'aimer et à le tancer quand il prend des décisions discutables, il à une moralité qui lui est propre.
Mais c'est un régal de lecture, d'une parce que c'est très bien écrit, mais surtout, on a le plaisir de voir un personnage évoluer et chuter humainement. Un personnage complexe.
Ce n'est pas le genre de roman qui vous mettra le sourire aux lèvres en le lisant, notre héros nommé tour à tour Hugo/Amos/Sans-Nom et même Pierre, à une trajectoire de vie que l'on ne souhaite à personne. Enfant d'une mère, qui pour joindre les deux bouts dans la fin de Seconde Guerre mondiale, s'adonne à la prostitution, il est en est le fruit.
Rien n'est facile pour Hugo, sa mère prendra soin de lui, mais son enfance sera émaillée d'événements traumatiques pour un gamin de son âge, ce qui jouera vraisemblablement sur son caractère et sa façon de voir et de traiter les choses. Enfant taciturne, il ne se lie à personne son seul exutoire est le plaisir de la lecture.
Il ne se liera avec personne avant de rencontrer Kalya, une petite Tsigane qui vit non loin de chez lui, chez son père, un ferrailleur. Cette enfant aussi à une trajectoire de vie difficile que l'on découvrira au fil du roman ; qui se ressemble s'assemble comme le dit l'adage, c'est ce que feront Hugo et Kalya, qui deviendront les meilleurs amis du monde. Toujours prompts aux plans les plus foireux, ils séviront sur le terrain vague non loin de leur lieu de vie respectif, ce paradis des vauriens.
Le roman est écrit sur deux trames temporelles, une traitant de l'enfance et l'autre la partie adulte, post-adolescence, de Hugo. La première trame, celle de ses jeunes années rattraperas au fil des chapitres le début de la trame adulte.
Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler, car ça ce lit comme un conte, noir, ou le mauvais côté des hommes en général est mis en avant, comme si nos deux compères n'avaient pas le droit au bonheur sur le long terme, leurs vies cabossées.
C'est une lecture qui prend aux tripes, j'avais de l'antipathie pour notre protagoniste au début du roman et au fil des pages, on apprend à l'aimer et à le tancer quand il prend des décisions discutables, il à une moralité qui lui est propre.
Mais c'est un régal de lecture, d'une parce que c'est très bien écrit, mais surtout, on a le plaisir de voir un personnage évoluer et chuter humainement. Un personnage complexe.
