Voici le dernier roman d'un auteur que je suis et que j'affectionne pour diverses raisons.
Ce n'est pas celui que je préfère, mais il mérite d'être lu de par le/les thèmes qu'il aborde et qui font partie de notre histoire collective ; la ségrégation, la peine de mort, le racisme très présent aux États-Unis... En lisant la 4eme de couverture, j'ai été tout de suite emballé par l'histoire. J'aurais aimé que la culture « Vaudou » et noir américaine soient plus présentes. A contrario, j'ai eu plus de mal avec le côté polar, que je trouve trop présent à certains moment. Mais cela n'enlève en rien à la qualité d'écriture, c'est une question de goût, j'ai du mal avec les polars de manière générales et je suis certaine que les personnes sensibles à ce style littéraire s'y retrouveront en découvrant l'histoire. le roman m'a rappelé un film que j'ai adoré, sortie il y a quelques semaines dans les salles, « La voie de la justice »...
le travail de fait sur les personnages est comme toujours au rendez-vous. Je ne me l'explique pas, je n'aie pas aimé
Mama Finger mais j'ai aimé l'avocat avec son côté pompeux ! Je me suis attachée à Henriette et surtout aux personnages qui croisent sa routes. Il se dégage beaucoup d'humanité et une belle solidarité parmi eux. En découvrant certain passage, je me suis souvenue de «
Un genou à terre », le 1er roman de Wendall et que j'ai adoré.
J'ai aimé la fin de cette histoire que nous livre l'auteur. Je n'en dirais pas plus !
PS : J'adore la couverture.
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