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Critique de FredericSoulier
Un échec de lecture. Je suis allé jusqu'au bout, mais il s'en est fallu de peu. C'est un peu ma faute, je n'aime pas les thrillers, et rien qu'à la couverture et au titre, on se doute bien que c'en est.
Il y a donc tous les lieux communs auxquels je m'attendais, les invraisemblances, et cette impression permanente de lire le scénario d'un de ces téléfilms du dimanche après-midi dans lesquels, invariablement, le héros ou l'héroïne découvre la vérité, mais que personne ne croit.
L'auteure est visiblement engagée dans une cause, la défense des droits des homosexuels, mais le couple qu'elle nous présente ici est aussi tarte - presque mièvre - que la plupart des couples hétéros. de fait, je ne les ai trouvés à aucun moment attachant.
Autre point faible, le parti pris d'une narration à la première personne. Je le répète, ça ne fonctionne que si le narrateur a une riche vie intérieure et si tous les événements ne transitent pas par ses sens. Ici, l'auteure ne laisse aucune place à l'interprétation, à l'imagination ; ce que pense, voit, sent, entend, déduit le personnage principal est ce que le lecteur est sensé ressentir. Dans un roman, ce qui est dit est aussi important que ce qui ne l'est pas. le lecteur doit tirer ses propres conclusions des événements auxquels il assiste.
Pas non plus aimé les dialogues qui se concluent bien trop souvent par des laïus peu crédibles dans les circonstances. Ca manque de vie, d'échanges...
Et puis cet épilogue qui n'en finit pas, ces remerciements bien trop longs...
Pour autant, si je suis allé au bout de cette histoire, c'est parce que l'auteur sait écrire avec une syntaxe parfaite et n'a pas ces tics et ces tocs horripilants d'apprentis scribouillards qui me font de plus en plus abandonner des livres autoédités.
Précisons aussi que l'auteure n'a pas vingt-cinq ans et que, si elle daigne écouter les critiques et remarques, elle promet quand même d'envoyer du bois.
Il y a donc tous les lieux communs auxquels je m'attendais, les invraisemblances, et cette impression permanente de lire le scénario d'un de ces téléfilms du dimanche après-midi dans lesquels, invariablement, le héros ou l'héroïne découvre la vérité, mais que personne ne croit.
L'auteure est visiblement engagée dans une cause, la défense des droits des homosexuels, mais le couple qu'elle nous présente ici est aussi tarte - presque mièvre - que la plupart des couples hétéros. de fait, je ne les ai trouvés à aucun moment attachant.
Autre point faible, le parti pris d'une narration à la première personne. Je le répète, ça ne fonctionne que si le narrateur a une riche vie intérieure et si tous les événements ne transitent pas par ses sens. Ici, l'auteure ne laisse aucune place à l'interprétation, à l'imagination ; ce que pense, voit, sent, entend, déduit le personnage principal est ce que le lecteur est sensé ressentir. Dans un roman, ce qui est dit est aussi important que ce qui ne l'est pas. le lecteur doit tirer ses propres conclusions des événements auxquels il assiste.
Pas non plus aimé les dialogues qui se concluent bien trop souvent par des laïus peu crédibles dans les circonstances. Ca manque de vie, d'échanges...
Et puis cet épilogue qui n'en finit pas, ces remerciements bien trop longs...
Pour autant, si je suis allé au bout de cette histoire, c'est parce que l'auteur sait écrire avec une syntaxe parfaite et n'a pas ces tics et ces tocs horripilants d'apprentis scribouillards qui me font de plus en plus abandonner des livres autoédités.
Précisons aussi que l'auteure n'a pas vingt-cinq ans et que, si elle daigne écouter les critiques et remarques, elle promet quand même d'envoyer du bois.
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