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Critique de MaxFau
La cerise sur le gâteau offre une immersion sur la vie d'un couple de jeunes retraités. D'un côté, il y a Brigitte, une ancienne enseignante et Bernard, tout juste mis en retraite, qui ne supporte pas cette nouvelle vie et qui n'en perçoit pas les éventuels bons côtés.
Son point de vue va changer au fur et à mesure de ce roman incontestablement comique mais un peu trop ouvert aux bons sentiments. le capitaliste Bernard va devenir un écologiste convaincu - pourquoi pas, l'être humain évolue tout au long de la vie - mais cela devient rapidement une obsession partie d'un simple devoir de vacances. On pourrait en rire, si le sujet ne se prenait pas un peu trop au sérieux. Et, il ne faut quand même ne pas perdre de vue que l'écologie déguise bien trop souvent un fonds de commerce. Cela fait vendre, y compris dans la littérature. Et j'écris cela après avoir lu le dernier chapitre, post épilogue, où l'auteure justifie ses choix et force ce roman vers quelque chose qui se veut engagé. Ce mélange extrême des genres me paraît un peu gênant. En reste toutefois une lecture qui se fait très facilement, un style simple, mais vivant auquel le comique, s'il avait perduré, aurait pu complètement excuser certaines incohérences et invraisemblances. de Brigitte qui finit par devenir un peu écolo mais qui utilise sans pipier mot des tonnes de peinture pour refaire son intérieur, jusqu'aux Dugrin, des voisins détestables, c'est vrai, mais qui détalent un peu facilement lorsqu'ils se sentent vaincus. Finalement, on a un peu le sentiment que Brigitte et Bernard sont des retraités auxquels la vie a tout offert et qu'ils s'inventent parfois des problèmes pour s'occuper.
Bref, un roman à lire, pourquoi pas, mais à ne pas prendre autant au sérieux que l'auteure le voudrait. On peut alors se raccrocher au comique qui n'est pas de mauvais goût. Il faut prendre ce livre à la légère, ce que je n'ai pas toujours pu faire.
Son point de vue va changer au fur et à mesure de ce roman incontestablement comique mais un peu trop ouvert aux bons sentiments. le capitaliste Bernard va devenir un écologiste convaincu - pourquoi pas, l'être humain évolue tout au long de la vie - mais cela devient rapidement une obsession partie d'un simple devoir de vacances. On pourrait en rire, si le sujet ne se prenait pas un peu trop au sérieux. Et, il ne faut quand même ne pas perdre de vue que l'écologie déguise bien trop souvent un fonds de commerce. Cela fait vendre, y compris dans la littérature. Et j'écris cela après avoir lu le dernier chapitre, post épilogue, où l'auteure justifie ses choix et force ce roman vers quelque chose qui se veut engagé. Ce mélange extrême des genres me paraît un peu gênant. En reste toutefois une lecture qui se fait très facilement, un style simple, mais vivant auquel le comique, s'il avait perduré, aurait pu complètement excuser certaines incohérences et invraisemblances. de Brigitte qui finit par devenir un peu écolo mais qui utilise sans pipier mot des tonnes de peinture pour refaire son intérieur, jusqu'aux Dugrin, des voisins détestables, c'est vrai, mais qui détalent un peu facilement lorsqu'ils se sentent vaincus. Finalement, on a un peu le sentiment que Brigitte et Bernard sont des retraités auxquels la vie a tout offert et qu'ils s'inventent parfois des problèmes pour s'occuper.
Bref, un roman à lire, pourquoi pas, mais à ne pas prendre autant au sérieux que l'auteure le voudrait. On peut alors se raccrocher au comique qui n'est pas de mauvais goût. Il faut prendre ce livre à la légère, ce que je n'ai pas toujours pu faire.
