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Critique de majero
Rencontre d'un atypique vendeur de macarons à Orly accosté par une jeune aveugle, ce qui lui permet de mater sans vergogne cette superbe créature en minishort rouge et chemisier transparent.... coup de foudre!
Il ne restera plus au trop généreux chien Jules qu'à aider Zibal à retrouver Alice à travers une quête truculente (mais heureusement pas la populaire 'usine à gags') et de délicieuses rencontres comme le vieux Maurice Blum de Trouville, partant inlassablement à marée basse, la bêche sur l'épaule donner de ses nouvelles aux indifférents du cosmos, comme Fred, vieille lesbienne en Masérati ou ... ces bactéries télépathes;-)
Une belle prose qu'on aime savourer, de la maîtrise et de la délicatesse comme quand il aborde la reconstruction après un viol, et des personnages au grand coeur qui nous font du bien.
Il ne restera plus au trop généreux chien Jules qu'à aider Zibal à retrouver Alice à travers une quête truculente (mais heureusement pas la populaire 'usine à gags') et de délicieuses rencontres comme le vieux Maurice Blum de Trouville, partant inlassablement à marée basse, la bêche sur l'épaule donner de ses nouvelles aux indifférents du cosmos, comme Fred, vieille lesbienne en Masérati ou ... ces bactéries télépathes;-)
Une belle prose qu'on aime savourer, de la maîtrise et de la délicatesse comme quand il aborde la reconstruction après un viol, et des personnages au grand coeur qui nous font du bien.
