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Critique de Melli56
Je viens vous parler de « Contrefaçon »
de JB. van Dyck
en auto-édition, que j'ai eu la chance de gagner grâce à un concours de Gabriel, que je remercie encore !!
Comme c'est un roman assez court, il fait une centaine de pages, pas le temps de tergiverser, nous entrons directement dans la vie de notre protagoniste par la petite porte. Nous rencontrons ce grand gaillard de 30 ans, célibataire, sans enfant, boulot classique, rien de bien folichon (on dit encore ce mot ?).
Métro, boulot, dodo…
Je pense qu'Édouard aurait pu se satisfaire de sa vie tranquille sans la pression parentale, la pression sociétale.
Vous savez, cette pression qui vous fait faire des choses que vous n'avez pas envie de faire?
Je suis sûre que vous voyez très bien de quoi je parle.
Pour en rajouter une couche, dans ce monde hyperconnecté, vous êtes jugés selon votre nombre de point. Oui oui, un nombre de point, selon votre poste, votre statut social, votre nombre d'enfant… J'en passe… Vous vous doutez bien que notre cher Édouard, n'est pas au plus haut de la hiérarchie.
Et il y a cette voix…nous ne savons pas d'où elle vient, est-il fou ?
Nous assistons à la déchéance d'un être humain qui n'a rien demandé à part de vivre simplement.
Ce roman est terrifiant de vérité. Dans un futur ressemblant tellement au notre, l'auteur nous livre une satire sociale brodée d'humour et de noirceur. Ce roman est digne des meilleurs épisodes de black mirror avec une bande son magnifique entre ben harper, muse ou encore Coldplay.
Je l'ai dévoré, les pages tournaient à tout allure, je voulais absolument voir ou l'auteur nous emmenait.
Je ne peux pas vous en dire plus, mais vraiment, si vous aimez les romans d'anticipation satirique, foncez !!
Et moi je vous dis à très bientôt pour de nouvelles lectures !
de JB. van Dyck
en auto-édition, que j'ai eu la chance de gagner grâce à un concours de Gabriel, que je remercie encore !!
Comme c'est un roman assez court, il fait une centaine de pages, pas le temps de tergiverser, nous entrons directement dans la vie de notre protagoniste par la petite porte. Nous rencontrons ce grand gaillard de 30 ans, célibataire, sans enfant, boulot classique, rien de bien folichon (on dit encore ce mot ?).
Métro, boulot, dodo…
Je pense qu'Édouard aurait pu se satisfaire de sa vie tranquille sans la pression parentale, la pression sociétale.
Vous savez, cette pression qui vous fait faire des choses que vous n'avez pas envie de faire?
Je suis sûre que vous voyez très bien de quoi je parle.
Pour en rajouter une couche, dans ce monde hyperconnecté, vous êtes jugés selon votre nombre de point. Oui oui, un nombre de point, selon votre poste, votre statut social, votre nombre d'enfant… J'en passe… Vous vous doutez bien que notre cher Édouard, n'est pas au plus haut de la hiérarchie.
Et il y a cette voix…nous ne savons pas d'où elle vient, est-il fou ?
Nous assistons à la déchéance d'un être humain qui n'a rien demandé à part de vivre simplement.
Ce roman est terrifiant de vérité. Dans un futur ressemblant tellement au notre, l'auteur nous livre une satire sociale brodée d'humour et de noirceur. Ce roman est digne des meilleurs épisodes de black mirror avec une bande son magnifique entre ben harper, muse ou encore Coldplay.
Je l'ai dévoré, les pages tournaient à tout allure, je voulais absolument voir ou l'auteur nous emmenait.
Je ne peux pas vous en dire plus, mais vraiment, si vous aimez les romans d'anticipation satirique, foncez !!
Et moi je vous dis à très bientôt pour de nouvelles lectures !
