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Critique de bdelhausse
On entre de plain-pied dans l'histoire de Thorgal... il est enchaîné sur un rocher par Gandalf-le-fou, condamné à attendre la marée haute et mourir noyé (ou grignoté par les oiseaux ou les crabes s'ils choisissent de se servir avant qu'il ne meure).
Thorgal est un scald, dont on murmure l'ascendance divine, et qui a eu la mauvaise idée de séduire (et réciproquement) Aaricia la fille de gandalf-le-fou. Sauvé par Slive, une magicienne qui veut se venger de Gandalf-le-fou, Thorgal accepte de servir la magicienne pendant un an. Il vole les anneaux de Frey et ils capturent Gandalf-le-fou, avant que celui-ci ne s'enfuient, profitant de l'attaque des Baalds, lesquels sont également assez remontés contre Gandalf-le-fou.
On l'a compris, le rythme est soutenu. Premier opus d'une saga renommée, ce tome met les bouchées doubles pour initier le lecteur à l'univers de Thorgal.
Les dessins sont déjà fort assurés, mais on a quelques moments de flou. Des choses encore à définir. La mise en page est OK, les cases s'imbriquent, les phylactères chevauchent les cases, les couleurs rendent adéquatement l'hiver et les plaines scandinaves.
Un tome qui se laisse lire...
Sauf que je n'adhère pas à l'idée que ce premier pas dans l'univers de Throgal ne fasse qu'une trentaine de pages de long, et soit complété par une sorte de conte/fable scandinave sur le temps qui passe, sur les êtres fantastiques (ici des sorcières) et qui n'est pas crédible, tout en n'ajoutant rien à l'univers mis en place dans l'histoire initiale. du remplissage, et moins bien dessiné que les 30 première pages. Tout à fait inutile, donc.
Thorgal est un scald, dont on murmure l'ascendance divine, et qui a eu la mauvaise idée de séduire (et réciproquement) Aaricia la fille de gandalf-le-fou. Sauvé par Slive, une magicienne qui veut se venger de Gandalf-le-fou, Thorgal accepte de servir la magicienne pendant un an. Il vole les anneaux de Frey et ils capturent Gandalf-le-fou, avant que celui-ci ne s'enfuient, profitant de l'attaque des Baalds, lesquels sont également assez remontés contre Gandalf-le-fou.
On l'a compris, le rythme est soutenu. Premier opus d'une saga renommée, ce tome met les bouchées doubles pour initier le lecteur à l'univers de Thorgal.
Les dessins sont déjà fort assurés, mais on a quelques moments de flou. Des choses encore à définir. La mise en page est OK, les cases s'imbriquent, les phylactères chevauchent les cases, les couleurs rendent adéquatement l'hiver et les plaines scandinaves.
Un tome qui se laisse lire...
Sauf que je n'adhère pas à l'idée que ce premier pas dans l'univers de Throgal ne fasse qu'une trentaine de pages de long, et soit complété par une sorte de conte/fable scandinave sur le temps qui passe, sur les êtres fantastiques (ici des sorcières) et qui n'est pas crédible, tout en n'ajoutant rien à l'univers mis en place dans l'histoire initiale. du remplissage, et moins bien dessiné que les 30 première pages. Tout à fait inutile, donc.
