>
Critique de finitysend
Dans un Astroport erre un jeune homme amnésique qui est arrivé récemment et qui est pris en charge par les autorités portuaires .
C'est un peu mon texte préféré de Vance car ce personnage est incroyablement touchant et tangible . Il est à la recherche de lui-même ,tout en subissant des pressions de la part de son univers qui tente naturellement de le « normer ». C'est un beau voyage qui n'est pas de tout repos que Vance fait parcourir à son lecteur. Un voyage palpable avec sa vie intérieure et ses découvertes successives.
Il devra travailler sur le monde où on l'a découvert pour payer son futur et nécessaire voyage .C'est un peu l'histoire de l'enfant élu et perdu , ignorant de son statut réel et qui le retrouve ( un Topos millénaire) car il est promu à une certaine destinée.
Il lui faudra se redécouvrir ,se souvenir de qui il est et s'ouvrir en même temps à la découverte et s'en ouvrir modérément à autrui aussi. il devra s'adapter à des environnements normatifs pendant ce processus de recouvrement. Des environnements qui feront quelquefois preuve d'une certaine générosité avec lui , une générosité de plus en plus calculée au grès des pages ,notamment quand on approche du dénouement qui se situe lui, en eaux dangereuses.
C'est un sujet très riche avec deux mondes (un surtout) à décrire ,avec une personnalité qui se reconstruit et se récupère , avec une donne politique aussi . La complexité du sujet est la source d'un effort d'écriture de l'auteur qui a magistralement porté ses fruits.
Le texte est dynamique ,car il apporte une vision progressive de la situation avec deux tendances principales qui tournent autour des informations politiques au sens large et autour des statuts sociaux et de la mémoire qui revient progressivement au voyageur.
Le message général de ce texte agréable tourne aussi autour du personnage principal qui dans l'adversité se prend en charge lui-même et exploite même ses propres difficultés.
D'où ma conclusion autour de la signification du nom du personnage :
Genèse 41/52 : Il donna au second le nom d Ephraïm (Fécond,produire, augmenter), car dieu ,dit-il , m'a rendu fécond dans le pays où j'ai connu l'affliction.
C'est un bon court roman, il est soigné et c'est peu de le dire !
C'est un peu mon texte préféré de Vance car ce personnage est incroyablement touchant et tangible . Il est à la recherche de lui-même ,tout en subissant des pressions de la part de son univers qui tente naturellement de le « normer ». C'est un beau voyage qui n'est pas de tout repos que Vance fait parcourir à son lecteur. Un voyage palpable avec sa vie intérieure et ses découvertes successives.
Il devra travailler sur le monde où on l'a découvert pour payer son futur et nécessaire voyage .C'est un peu l'histoire de l'enfant élu et perdu , ignorant de son statut réel et qui le retrouve ( un Topos millénaire) car il est promu à une certaine destinée.
Il lui faudra se redécouvrir ,se souvenir de qui il est et s'ouvrir en même temps à la découverte et s'en ouvrir modérément à autrui aussi. il devra s'adapter à des environnements normatifs pendant ce processus de recouvrement. Des environnements qui feront quelquefois preuve d'une certaine générosité avec lui , une générosité de plus en plus calculée au grès des pages ,notamment quand on approche du dénouement qui se situe lui, en eaux dangereuses.
C'est un sujet très riche avec deux mondes (un surtout) à décrire ,avec une personnalité qui se reconstruit et se récupère , avec une donne politique aussi . La complexité du sujet est la source d'un effort d'écriture de l'auteur qui a magistralement porté ses fruits.
Le texte est dynamique ,car il apporte une vision progressive de la situation avec deux tendances principales qui tournent autour des informations politiques au sens large et autour des statuts sociaux et de la mémoire qui revient progressivement au voyageur.
Le message général de ce texte agréable tourne aussi autour du personnage principal qui dans l'adversité se prend en charge lui-même et exploite même ses propres difficultés.
D'où ma conclusion autour de la signification du nom du personnage :
Genèse 41/52 : Il donna au second le nom d Ephraïm (Fécond,produire, augmenter), car dieu ,dit-il , m'a rendu fécond dans le pays où j'ai connu l'affliction.
C'est un bon court roman, il est soigné et c'est peu de le dire !
