Tout change, nous aussi ; accepter le changement sans créer de résistance émotionnelle, c’est gagner sa liberté.
Ce que je pense de moi influence ce que je crois de moi et ce que je dis. Ce que je crois de moi influence mon comportement et mes habitudes. Mon comportement influence mes actions et mes actions m'amènent un résultat. Ce résultat renforce ma réalité.
Moi, quand je veux vraiment profiter de ma dépression, je me tiens les épaules rentrées, la tête tombant vers le bas, j’appelle ça : ma posture de déprimé.
Souriez à la vie, et la vie vous sourira.
Depuis la nuit des temps, l'homme est un être sociable qui a besoin d'interaction. L'homme a survécu en " territoire hostile " , par la force du groupe, la force du collectif. L'Autre est un excellent levier d'évolution.
Je pense qu'il faut redonner le pouvoir aux gentils, le pouvoir à la gentillesse. Trop de casse dans les entreprises, trop de burn-out, de burn-in pour n'oublier personne. " Et si changeait ? ", pour plus gentillesse ! " Gentil " ne signifie pas idiot ou faible. Cela a assez duré ; on peut être gentil tout en étant respecté et respectable.
Les scientifiques s'accordent à dire que notre perception des choses est une illusion. Nos cinq sens nous amènent à voir ce que nous avons l'habitude de voir.
Etre focus sur le futur crée des angoisses, du stress ; vivre dans le passé conduit à la dépression. L'instant de plénitude se trouve dans le moment présent. Au moment présent tout va bien.
J'ai l'habitude de dire qu'i y a deux cas où il faut agir vite : parce que je saigne abondamment ou parce que j'étouffe. Pour le reste, s'inquiéter, c'est créer des situations qui n'existent pas encore.
Parce que changer ses habitudes, ça fatigue physiologiquement et notre cerveau reptilien n'aime pas ça, se fatiguer !