Je n'ai tenu que les 80 premières pages.
J'ai réalisé que les luttes intestines qui secouent cette petite famille, et les états d'âmes décrits par Galen, le narrateur de ce récit, ne m'intéresseraient pas outre mesure...
Quel ennui !...
Depuis que j'avais entendu parler de son premier roman "
Sukkwan island", j'attendais de découvrir les écrits de
David Vann. Grosse dėcepton et plus envie de m'y frotter à nouveau.
Tant pis...
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